Précipitation pour donner un présumé coupable de l'attentat de Berlin,pour émettre des réserves 30mn aprés. Mais le mal est fait . Moi même si je n'écoutais pas la suite je déplorais qu'un réfugier puisse mette à mal la politique de l'accueil dont il a profité. A quoi servent les études de journalismes si c'est pour balancer une info qui plaira au plus grand nombre.Les médias entretiennent l'ignorance des gens alors qu'eux ils savent. En cela je les rend responsables de la désinformation. Mon père (1914-2005) simple prof technique m'a toujours conseiller de ne pas affirmer une info non vérifiée, dans la vie courante. Alors !appliquez d'autant plus ce principe dans le journalisme dont le pouvoir de diffusion est bien plus grand.

La Médiatrice Radio France vous répond
20/12/2016 - 15:53

Il ne s’agissait pas de précipitation, ni de « balancer une info qui plaira au plus grand nombre » (ce n’est pas notre rôle). Nous n’avons fait que transmettre une information communiquée en Allemagne par le ministre de l’Intérieur lui-même. Les autorités allemandes démentent maintenant. La responsabilité de cette « erreur » n’incombe pas aux journalistes; ce ne sont pas eux qui mènent l’enquête. Dans ce genre d’événement, les journalistes sont très dépendants des enquêteurs ou de leurs responsables qui sont censés être les mieux informés…