Vous avez raison de dire qu’il faut connaitre ses ennemis. La limite à cet état d’esprit me parait être quatitatif. C’est ainsi que j’ai arrêté d’écouter l’ancienne émission de Frederick Taddéi, dont la provocation/dandysme/recherche d’audience l’amenait à donner la parole sans cesse à des gens non républicains. L’exemple extrême est passé quasi inaperçu, en redonnant la parole à Alain de Benoist. Car sous ses allures de bon grand père sage, je n’oublie pas le raciste assumé venu de la nouvelle droite et du club de l’Horloge. Pouvait-on le savoir après l’émission ? Bref, je ne vous fait aucun reproche en ce qui concerne Buisson.
En revanche, je trouve bizarre votre insistance à reparler avec le médiateur de l’enfant mort avec sa tétine. Un innocent est mort et l’image est insupportable. Mais pourquoi parler et reparler de cette horreur pour disqualifier Moretti ? ? Il me semble que dans ce cas, vous laissez vos émotions prendre le dessus, ce que vous n’avez pas fait avec Buisson.
Pourquoi ?