Bonjour,

- Certes, "souvent femme varie, etc.", d'après la sagesse populaire.

- Je
ne dis pas qu'il faille être dinosaure pour parler de paléontologie.

- Je vois bien, aussi, comment les recherches de certains peuvent
être novatrices, pertinentes, en lien avec l'actualité brûlante et
intéressantes pour tout le monde, quel que soit leur genre.

- A priori, M. Bourmeau n'a rien d'un dangereux conservateur.

- Je ne dispose pas non plus de statistiques au-delà de septembre 2015

Mais tout de même !?

A
une époque où la féminisation croissante du métier
d'enseignant-chercheur est souvent interprétée comme un signe de sa
déconsidération, on peut s'étonner du faible nombre de femmes
invitées (4 sur 30 émissions, plus deux ou trois autres partageant l'antenne avec un collègue, si je ne m'abuse).

Je vois bien l'intérêt de la qualité sur la quantité mais n'y
a-t-il dans les universités francophones et anglophones, voire germanophones que si peu de
femmes travaillant et publiant sur des sujets dignes d'intérêt?

Et j'oserais même ajouter: hors santé et éducation, domaines dans lesquels tout le monde les cantonne ordinairement? (Lorsqu'il s'agit débattre de méthodes l'apprentissage de la lecture, là, on a deux femmes d'un coup, ça fait remonter les statistiques…)

Je
n'ai pas exploré le reste de la programmation de la station mais cela
ne m'en a pas vraiment donné envie.

Bien à vous...

La Médiatrice Radio France vous répond
20/03/2016 - 16:19

Il y a toutefois une progression depuis quelques temps et les directeurs des chaînes sont conscients du chemin qui reste à parcourir, le CSA également
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