Je suis choquée de la conversation des journalistes entendue ce matin dans l'émission "parlez-moi média" sur France inter au sujet de la publication de la photo de l'enfant syrien mort en Turquie, le petit Alyan. N'y a-t-il rien d'autre à faire qu'à se vanter pour ces représentants de journaux d'avoir publié cette photo ou à regretter pour d'autres d'avoir laissé passer cette occasion! On a le sentiment que, même et surtout dans les situations les plus dramatiques, ces journalistes sont uniquement capables de se regarder le nombril. Je pense que ces propos  ne devrait pas franchir le cap de leurs salons privés.