Il faut entendre la critique assassine du film "Deamin" par Laurent Delmans le samedi 5 décembre.

Qu'il n'ait rien compris à ce film qui "positive" quant au dérèglement climatique est possible. Qu'il assassine ce film qualifié de "pensum écologique" (au contraire DES AUTRES CRITIQUES PROFESSIONNELS qui y voient que ce film "Tranchant avec tous les films alarmistes abordant ces mêmes thématiques, ... adopte une approche optimiste et pédagogique") par "quatre décérébrés" (insulte qui qualifie davantage celui qui l'exprime que ses "cibles") supposés "promouvoir le Bouthan" (ce que nul autre spectateur ou critique n'a observé ou retenu comme significatif de ce film).

Bref, honte à Monsieur Laurent Delmas qui m'a semblé "délirer" tant son propros haineux fut stupéfiant de contre vérité. Qu'il n'ait pas aimé le film, soit. Qu'il en rende compte, soit. Mais qu'au moins il se référe  à ce qu'est le film et non à ce qu'il a haineusement fantasmé !

E cette émission n'est pas contradictoire (au contraire du "Masque et la plume)

Une critique sur Fance Inter peut élle être aussi "décalée" de la réalité, aussi absurdement haineuse ?

J'ai entendu ces propos de façon accidentelle n'ayant pas l'habitude d'écouter la radio le samedi en matinée.

Fidèle (parmi les fidèles) auditeur aux heures où j'écoute la radio, je n'avais jamais imaginé qu'un chroniqueur de France inter, ayant l'opportunité d'être le seul à s'exprimer, "massacre" une oeuvre qu'il peut trouver maladroite mais certainement pas "décérébrée" !

La Médiatrice Radio France vous répond
11/12/2015 - 19:56

Voici la réponse de Laurent Delmas ;

je ne pense pas avoir parlé de
quatre décérébrés. J’ai exercé mon métier de critique de cinéma, c’est à dire
que j’ai émis des jugements sur la forme du film notamment laquelle me semble
et maladroite et terriblement égocentrée autour de la figure de Mélanie
Laurent. Concernant le Bouthan, je maintiens que ce pays, et qui plus lors de
la conclusion du film, est mis en avant comme un modèle idéal aux résultats
remarquables. Or cette affirmation est pour le moins contestable, comme
d’autres raccourcis utilisés dans le film lequel a tendance à confondre
argument et slogan. Au fond, il s’agissait de dire que les bons sentiments ne
font pas forcément du bon cinéma, pour paraphraser ce que disait Gide de la
littérature… J’ai reçu d’autres courriers en ce sens. Il est vrai qu’émettre
des réserves de ce type au moment de la COP 21 pouvait passer pour du suicide.
Mais il me semble qu’à France Inter encore plus qu’ailleurs, la liberté de ton
et de parole est à ce prix. Il faut considérer chaque film comme une proposition
laquelle est dès lors forcément discutable.
Bien à vous