Cher Monsieur,
Je reviens du Japon et comme à mon habitude j'écoute ce matin à 7H00 les nouvelles sur France inter. De façon plus générale je toruve que le traitement des journaliste de l' information mais trop en avant soit des faits divers violents que l'on retrouve dans un entrefilet dans la presse nationale écrite ou régionale... alors qu'il y a beaucoup, de sujets à traiter de dimensions internationales et vous êtes très loin d'être la pire des radios généralistes... (sinon je n e vous écouterai plus) Heureusement maintenant par internet on peut écouter la BBC ou d'autres média qui donnent un bon exemple de traitements plus exhaustifs. Je vous transmets la reflexion d'un restaurateur français travaillant à Kyoto : Sur le site de l'ambassade du Japon il est spécifié que la France est un pays dangeureux en état de guerre, ce qui évidement donne envie de visiter notre pays... Je pense que les médias ont une lourde responsabilité sur l'image qu'ils véhiculent en mettant en avant des faits parfois mineurs, quelques casseurs qui sont toujours là aux manifestations, une ou deux voitures brulées à Nantes... ce sont des faits divers, mais qui font du sensationnel, t la plupart du temps et donne une image bien désastreuse de notre pays. Avez vous estimé le cout économique de la diffusion de ce genre d'information pour le tourisme français qui est l'un des revenus importants pour beaucoup de personnes en France.

La Médiatrice Radio France vous répond
03/05/2016 - 15:47

Je peux comprendre votre réaction, mais les journalistes ne sont pas responsables d’une situation ou d’événements. L’état de guerre dont vous parlez est le terme employé par Manuel Valls et d’autres membres du gouvernement, certainement repris par l’Ambassade du Japon. Quant aux mouvements sociaux qui dégénèrent ou aux casseurs qui profitent de manifestations, il serait grave que les journalistes se censurent pour éviter de donner une mauvaise image de la France. Les faits sont les faits, et nous les relatons.