Le billet de Sophia Aram

L’émission « Esprit Public » sur France Culture

20 ans de l’émission « Interception »

Isabelle Balkany invitée de franceinfo

Giulia Fois et le viol

La chronique de Daniel Morin dans La Bande Originale

Erreur de titre dans un article consacré à Israël sur franceinfo

Le Téléphone sonne sur le développement personnel



Le billet de Sophia Aram

Nous sommes, mon épouse et moi, de fidèles auditeurs de France Inter. Nous ne savons pas ce qu’a dit M. Bellamy et d’ailleurs ça n’a pas d’importance pour nous. Nous savons que ce billet se veut humoristique. Mais nous sommes choqués par la façon dont on ridiculise  par sous-entendus les chrétiens à propos d’un sujet aussi grave que la PMA pour toutes. Il est facile de parler de « timbrés » ou d' »illuminés » pour stigmatiser ceux qui ne pensent pas comme vous. Les mots tuent aussi bien que les armes. Alors, s’il vous plaît, un peu de retenue, de décence et de respect pour tous vos auditeurs, quels qu’ils soient.

Bonjour,
N’importe quoi votre chronique de ce jour!!!…. Chacun peut avoir des idées opposées à d’autres idées.. La différence majeure entre vous et Monsieur Bellamy, c’est que lui défend ses idées et que vous vous attaquez des personnes… Et comme il est facile de trouver des interviews caricaturales de personne peu éclairées certes, avec des voix nasillardes ne vous en déplaise, pour enfoncer et achever encore plus des personnes… Cette chronique ne vous honore pas chère Sofia. Je pense que vous valez mieux que cela… Je suis tout simplement triste d’entendre une telle haine sur les ondes de France Inter…. Belle journée à vous quand même.

Bonjour à toute l’équipe du 7/9.
Je suis catholique, et j’ai complètement adoré la chronique de Sophia Aram. Alors merci, encore merci, MERCI pour ces chroniques qui répondent par l’intelligence et l’humour à la bêtise et l’obscurantisme. Merci !

Je suis désolé du niveau de la chronique de Mme Aram de ce lundi. Elle ne vient malheureusement pas relever le niveau des quelques chroniques précédentes que j’avais eues le courage d’écouter. Si l’on prend le parti de la pauvreté intellectuelle pour une chronique humoristique, qu’elle soit au moins humoristique. Des chroniqueurs comme Guillaume Meurice, qui assument parfaitement leur malhonnêteté intellectuelle et leur biais, parviennent à être irrésistiblement drôles.

Dans la droite ligne de la majorité des journaux français, elle base toute sa chronique sur le seul mot de « malédiction » sans le contextualiser, mot qui apparaît dans la rhétorique de M. Bellamy au terme de son raisonnement : «Depuis son apparition, la médecine a pour but de remédier à la maladie. Dans ce cadre, la loi autorisait la PMA pour pallier une infertilité pathologique, qui devait être médicalement constatée. Si nous supprimons ce critère, la technique médicale ne servira plus à rétablir l’équilibre de la condition humaine, mais à dépasser ses limites». «Une fois cette nouvelle logique acceptée, je ne vois pas ce qui nous arrêtera: elle nous conduit directement au transhumanisme, par la transformation technique de nos corps (…) rompre avec la condition humaine parce que ses limites frustrent nos désirs. Je crois que ce choix sera notre malédiction». Elle enchaîne ensuite les lieux communs sur les croyants catholiques, opère des comparaisons parfaitement inadéquates entre le mouvement d’opposition au mariage pour tous en citant cette archive qui serait tellement drôle si elle n’était pas aussi hallucinante et qu’elle ne révélait pas si dramatiquement l’indigence de certains français homophobes.

Je suis désolé du niveau de la chronique de Mme Aram de ce lundi. Elle ne vient malheureusement pas relever le niveau des quelques chroniques précédentes que j’avais eues le courage d’écouter. Si l’on prend le parti de la pauvreté intellectuelle pour une chronique humoristique, qu’elle soit au moins humoristique. Des chroniqueurs comme Guillaume Meurice, qui assument parfaitement leur malhonnêteté intellectuelle et leur biais, parviennent à être irrésistiblement drôles.

Dans la droite ligne de la majorité des journaux français, elle base toute sa chronique sur le seul mot de « malédiction » sans le contextualiser, mot qui apparaît dans la rhétorique de M. Bellamy au terme de son raisonnement : «Depuis son apparition, la médecine a pour but de remédier à la maladie. Dans ce cadre, la loi autorisait la PMA pour pallier une infertilité pathologique, qui devait être médicalement constatée. Si nous supprimons ce critère, la technique médicale ne servira plus à rétablir l’équilibre de la condition humaine, mais à dépasser ses limites». «Une fois cette nouvelle logique acceptée, je ne vois pas ce qui nous arrêtera: elle nous conduit directement au transhumanisme, par la transformation technique de nos corps (…) rompre avec la condition humaine parce que ses limites frustrent nos désirs. Je crois que ce choix sera notre malédiction». Elle enchaîne ensuite les lieux communs sur les croyants catholiques, opère des comparaisons parfaitement inadéquates entre le mouvement d’opposition au mariage pour tous en citant cette archive qui serait tellement drôle si elle n’était pas aussi hallucinante et qu’elle ne révélait pas si dramatiquement l’indigence de certains français homophobes.

Je suis désolé du niveau de la chronique de Mme Aram de ce lundi. Elle ne vient malheureusement pas relever le niveau des quelques chroniques précédentes que j’avais eues le courage d’écouter. Si l’on prend le parti de la pauvreté intellectuelle pour une chronique humoristique, qu’elle soit au moins humoristique. Des chroniqueurs comme Guillaume Meurice, qui assument parfaitement leur malhonnêteté intellectuelle et leur biais, parviennent à être irrésistiblement drôles.  

Dans la droite ligne de la majorité des journaux français, elle base toute sa chronique sur le seul mot de « malédiction » sans le contextualiser, mot qui apparaît dans la rhétorique de M. Bellamy au terme de son raisonnement : «Depuis son apparition, la médecine a pour but de remédier à la maladie. Dans ce cadre, la loi autorisait la PMA pour pallier une infertilité pathologique, qui devait être médicalement constatée. Si nous supprimons ce critère, la technique médicale ne servira plus à rétablir l’équilibre de la condition humaine, mais à dépasser ses limites». «Une fois cette nouvelle logique acceptée, je ne vois pas ce qui nous arrêtera: elle nous conduit directement au transhumanisme, par la transformation technique de nos corps (…) rompre avec la condition humaine parce que ses limites frustrent nos désirs. Je crois que ce choix sera notre malédiction». Elle enchaîne ensuite les lieux communs sur les croyants catholiques, opère des comparaisons parfaitement inadéquates entre le mouvement d’opposition au mariage pour tous en citant cette archive qui serait tellement drôle si elle n’était pas aussi hallucinante et qu’elle ne révélait pas si dramatiquement l’indigence de certains français homophobes.  

On peut écrire une chronique pour se payer un homme politique français en se basant exclusivement sur des arguments ad hominem et des arguments d’autorité, mais par pitié, que ce soit drôle au moins !

Madame,
Comment s’appelle le fait d’agresser sur l’antenne sans que l’auditeur puisse se défendre ou tout simplement répondre ou échanger ? Lâcheté ? Haine ? Condamnation ? Mise à mort ? Vous avez mis, ce matin, mon stoïcisme à rude épreuve. Pourquoi toujours tourner votre esprit de dérision vers autrui et non pas vers vous-même ? C’est sans doute là votre fragilité.

Bonjour,
Suite à votre billet de ce matin, je tiens à préciser que je ne suis ni croyante, ni religieuse, encore moins une grenouille de bénitier. L’entretien avec Bellamy dans le JDD ne parle pas une seconde de Dieu et vous le ridiculisez à bon compte. Il parle de malédiction de société et soulève la question de la rupture de la technique médicale, du dépassement du vivant qui nous conduit au transhumanisme. J’aurais préféré que vous discutiez de la PMA et du transhumanisme parce que là est le danger pour l’humanité. Dieu merci, Dieu est mort. à moins que l’homme ne se prenne maintenant pour Dieu !

Bonjour. Vos billets d’humeur habituellement drôles, subtils ou acerbes selon les jours sont très souvent réussis : celui de ce matin en revanche ne l’était point. Vos critiques sur Mr Bellamy ne sont pas dignes de vous. La religion catholique a une valeur dont vous pourriez vous inspirer qui s’appelle la Tolérance. La PMA est un sujet important et l’on peut être pour ou contre sans être traité d’illuminé ou d’autres qualificatifs évoqués ce matin. Il faut garder le sens de l’humour et accepter les désaccords sans moquerie! Bonne continuation à vous et à toute l’équipe.

Madame, fidèle du 7/9 dont j’apprécie la grande qualité chaque matin, je m’interroge régulièrement sur vos interventions en tant qu’humoriste. Votre billet de ce matin était particulièrement injurieux et surtout pas drôle ce qui arrive trop souvent à mon goût. Avez-vous pensé à passer sur une autre station ? Merci pour votre réponse

Bonjour Sophia Aram,
Je n’ai pas l’habitude d’écrire à France inter. J’écoute cette radio tous les jours, depuis toute petite… enfants de profs et prof moi-même (dans le public), elle fait partie de mon paysage sonore ! Souvent vos chroniques me font rire. Ce matin, j’ai été affligée par le niveau de votre chronique : caricatures grossières, moqueries et humiliations sans aucun recul à l’égard des opposants à la PMA. Il y a de nombreuses personnes qui s’inquiètent de la tournure que prend la nature humaine avec ces lois de bioéthiques. Certaines ont le malheur à vos yeux d’être catholiques… et même si leur opposition à la PMA est légitime, vous ridiculisez leur propos du seul fait qu’ils sortent de la bouche d’un catholique. Quand Bellamy parle de « malédiction », comprenez qu’il ne s’agit que d’une métaphore… (croyez-vous à ce point en Dieu pour prendre ce mot au pied de la lettre ?). C’est une expression forte pour dire la gravité des conséquences de cette loi. Heureusement qu’il y a aussi de nombreuses personnes de gauche pour s’opposer à ce projet de loi (cf. un article de libération récent). Votre pensée binaire me fait de la peine et n’est pas digne d’une grande radio comme France Inter.

J’ai été très déçue du manque d’humour de ce billet fait de moqueries et d’insultes sans réflexion. Que Sophia Aram ait son opinion politique sur la question cela la regarde mais insulter les personnes n’est pas un signe d’un humour de qualité. Je pense que France inter peut mieux faire.



L’émission « Esprit public »


Bonjour,
Je tiens à vous faire part de mon indignation quant au comportement de Mme Filippetti qui s’en est prise à double titre à M. Couturier en lui demandant de se taire – ce qui est singulier pour une émission de débat – et en prêtant à M Couturier des sentiments de haine envers les conducteurs de RATP. Jamais M. Couturier n’a exprimé de tel sentiment, il n’a fait que mettre en lumière une situation qui peut effectivement choquer, à savoir que des conducteurs de poids lourds travaillent bien plus longtemps que lesdits conducteurs de la RATP et donc contribuent à leur retraite alors qu’ils sont bien plus jeunes. Mme Filippetti n’a pas voulu aborder les régimes spéciaux alors qu’ils peuvent choquer.

Bonjour,
Je trouve que Mme Filippetti est trop idéologue et sectaire pour participer à l' »Esprit Public ».
Merci de ne plus l’inviter.

Merci de ne plus inviter Aurélie Philippeti à « L’esprit public ». Le but de cette émission est d’entendre une autre analyse que celles des politiques avec leur y a qu’à, faut qu’on. Son envolée contre Brice Couturier était ridicule. Je n’écoute pas cette émission pour entendre des gens aussi médiocres

Madame Filipetti a « reproché » à Monsieur Couturier de nourrir une « HAINE » à l’égard des conducteurs de train de la RATP. L’usage du mot « haine » est inadmissible de la part d’une personne à qui l’on confie un porte-voix tel que France Culture. C’est pourquoi je demande que Madame Philipetti soit exclue des ondes de Radio France ou d’une émission dont la principale qualité est l’usage d’une parole mesurée pour l’expression d’opinions diverses jusqu’à être opposées.
Bien à vous.

Insupportable Filipetti qui ose parler idéologie ! Elle n’arrive pas à la cheville de Brice Couturier. On est loin de l’émission autrefois animée par Philippe Meyer. Mais est-ce étonnant ? C’est La Tribune de la gauche de France Culture avec interdiction de parler si on n’est pas sur la même ligne. Nous aurions pensé que ce genre d’attitude était dépassée. Aurelie Filipetti devrait quitter l’émission puisqu’elle ne sait pas se contenir et éviter d’hurler hargneusement contre des gens civilisés.

Chère Emilie Aubry
Essayez de modérer Aurélie Filippetti qui prend votre émission pour une tribune gauchiste et qui parle de la haine de Bertrand Badie pour le personnel de la RATP! C’est un dérapage incontrôlé, sanctionnable.
On ne parle pas ainsi sur une radio consacrée à la culture et donc forcément à la modération.

Auditeur fidèle de l’Esprit public depuis sa création, j’ai trouvé problématique le comportement d’Aurélie Filipetti à l’Esprit public ce matin. Manifestement elle avait une divergence d’opinion avec Brice Couturier,  au lieu d’argumenter elle l’a invectivé (« arrêtez! »… « votre haine des conducteurs de la RATP »…). Son invective, de surcroît, ne répondait absolument pas au propos de Brice Couturier. Rien, d’ailleurs, dans le discours de celui-ci, ne méritait à mon sens un tel traitement, son propos ne posait à mon sens aucun problème. C’est je l’avoue la première fois que je suis témoin d’un tel comportement dans cette émission, pour laquelle j’ai le plus grand respect (et où j’en profite pour saluer le travail d’Emilie Aubry, que je trouve remarquable). On peut être véhément (comme le sont souvent les intervenants de cette émission, et cela ne pose là encore aucun problème) sans attaquer son interlocuteur. Peut-être une observation et un rappel aux règles de la courtoisie de la part de la direction de la chaîne à Aurélie Filipetti serait-elle utile.

Madame,
Je souhaitais m’adresser directement à Emilie Aubry suite à l’émission « L’esprit public » de ce dimanche 15 septembre.
Lors de cette émission Aurélie philipetti a violemment reproché ses idées à un des autre intervenant. Un comble dans une émission de débat ou les points de vue doivent se confronter. Il aurait fallu que l’animatrice intervienne pour lui rappeler que le débat n’est pas l’invective. Mais elle n’a pas réagi…Je m’interroge d’ailleurs sur le siège permanent dont dispose Mme Philipetti à cette émission: elle est la seule personne ayant eu un rôle politique récent à y participer.
Respectueusement.

Bonjour,
Je voulais juste dire que je suis choquée de l’attitude d’Aurélie Filippetti vis à vis de Brice Courturier dans l’emission “L’Esprit Public”. Il n’a pas manifesté de “haine” vis à vis des employés de la RATP, et elle n’a pas à lui interdire de s’exprimer.
Bien cordialement

Naufrage navrant de l’esprit public. L’émission du 15 septembre en est la plus désolante illustration. Emilie Aubry non contente d’intervenir à tout  propos en coupant la parole de ses invités, voir à tenter de couvrir leur intervention par son propre verbiage, s’est montré incapable de gérer son débat. Pour preuve la misérable intervention, malhonnête dans ses amalgames et agressive d’Aurelie Filippetti.
Cette émission ne nous apporte plus rien.



20 ans de l’émission « Interception »

Bonjour à toute l’équipe!
Félicitations pour votre anniversaire. Votre émission est formidable. Même si tous les sujets ne m’intéressent pas toujours, c’est toujours bien mené. La plus grande de vos qualités est sans doute la sobriété de votre ton à l’heure de la surenchère médiatique, c’est appréciable.
On a bien de la chance de vous avoir! Je lève mon verre à votre santé et espère que vous continuerez à nous ouvrir les yeux sur notre monde, encore longtemps.
Bien à vous

Bonjour à toutes et tous,
Pour vous souhaiter un très bel 20 ème anniversaire. Je ne réagis pas toujours, mais je vous écoute régulièrement.
BRAVO!!! Continuez

Très émouvant, magnifique émission.
MERCI

20 ans à ne pas voir le temps passé car scotché à votre écoute bien des dimanches matins. Merci pour cette rediffusion qui a aussi, hélas, l’effet de nous faire prendre conscience que l’on vieillit ! Merci aussi de l’avoir terminé par celle de Claudie Haigneré qui par son propos, sa dynamique intellectuelle, le charme inaltérable de sa personnalité et la musique qu’elle avait choisi nous suspend dans le temps  les quelques instant de son écoute  après les autres sujets lourds que vous savez si bien aborder !! A Dimanche prochain donc,  et pour encore 20 ANS !

Bonjour à tous les reporters et journalistes d’interception, une matinée très agréable et inoubliable pour ces 20 ans, chapeau bas et vive le service public ! Vivement les 40 ans !

Je me suis levée tôt pour vous écouter
Bon anniversaire
On attend la même chose pour le magazine blockbuster du mois d’août que j’ai adoré. France Inter toujours au top. Bravo



Isabelle Balkany invitée sur franceinfo

Bonjour,
Je viens d’ecouter l’intervention de Madame Balkany. Cette femme a été condamnée par la justice de notre pays, mais elle se voit offrir une tribune de près de 10 minutes sur une antenne nationale, et une interview aussi complaisante de ce journaliste. Au lieu de gloser sur le devoir exemplarité des politiques, la rédaction de franceinfo devrait réfléchir a celui de ses journalistes. Où sont passées l’éthique de vérité, et le devoir d’objectivité ? C’est proprement scandaleux.

Je suis absolument scandalisé . Alors que le procès Balkany vient de se terminer par la condamnation du couple et la mise en prison de Patrick Balkany et la condamnation à 3 ans ferme de sa femme, le journaliste se permet de passer derrière la justice pour permettre à une condamnée de faire une nouvelle plaidoirie de défense !!! Madame Balkany, en pleine forme (alors qu’elle est supposée ne pas être en état d’être incarcérée mais qu’elle pourra assumer les fonctions de maire et faire sa campagne sur les marchés), a pu bénéficier de tout le temps d’antenne qu’elle a voulu, sans contradiction, pour contredire le jugement qui venait d’être rendu à son encontre. Quelle sollicitude de la part du service publique pour des personnes délictueuses par ailleurs déjà condamnées pour d’autres malversations.

Bonjour,
Je ne suis pas du genre à intervenir pour un oui ou pour un non.
Seulement, j’ai été très agacée d’entendre Madame Balkany jouer Caliméro quasiment tout de suite après avoir été condamnée à trois ans de prison ferme et inéligible durant 10 ans.
C’est scandaleux, vous n’auriez jamais dû lui laisser la parole !! Non seulement, malgré sa condamnation, elle ne va pas en prison mais en plus elle continuera à « gérer » la commune de Levallois comme si de rien n’était!! Et Madame n’est pas contente et Madame s’offre même le luxe d’être interviewer par votre journaliste?! Hallucinant, Mais dans quel monde vit-on?? Faites bien attention de ne pas tomber dans le sensationnel, ce serait bien dommage moi qui vous écoute depuis si longtemps.

Bonjour, fidèle auditeur de franceinfo, j’entends à l’instant que Madame BALKANY sera en direct à l’antenne à 20h00. Je trouve inadmissible, et il ne s’agit aucunement d’opinion politique, de donner la parole, surtout sur franceinfo, à une personne qui vient d’être condamnée à 3 années de prison ferme. Madame BALKANY a eu le temps de se défendre face aux juges et vous ne devez pas lui donner l’occasion de tenter de se disculper ni même de faire son mea culpa. Col blanc ou crime de sang, un délit reste un délit et un crime un crime. Les auteurs ne doivent pas être médiatisés. Choquant. Cordialement quand même.

Bonsoir. Je suis agacé que vous donniez la parole à une personne qui vient d’être condamnée, d’autant que la procédure n’est pas terminée. L’arrogance, la jactance de cette personne sont insupportables compte tenu du contexte. Compte-t-elle faire pleurer dans les chaumières ?

Bonsoir mesdames messieurs de franceinfo. Je vous écoute quotidiennement mais là ce soir, je vous avoue que ras le bol d’écouter Les avocats de politiques. Vous les laissez sans arrêt évoquer un procès politique mais stop à la fin ! Nous sommes tous égaux devant la justice alors stop aux discours complètement démago par pitié, et laisser l’antenne ouverte à ceux qui veulent dire ce qu’ils pensent vraiment ! Je ne suis pas un gilet jaune ni gaucho, bien au contraire je suis plutôt chef d’entreprise. Mais arrêtons la langue de bois et les discours populo des avocats politico-pourris par pitié ! Sur les ondes des radios nationales… trop c’est trop, vous êtes finalement aussi responsables que tous ces verreux, tous bords confondus, et c’est bien ça le problème de notre pays…

Bonjour, Je suis outré de voir que le jour où deux grands délinquants en cols blancs, on leur déroule le tapis rouge à une heure de grande écoute. Honte aussi au journaliste, que d’habitude j’apprécie, de remercier une simulatrice, qui a ainsi éviter l’incarcération. Une radio publique ne doit pas permettre aux délinquants politique de venir faire un deuxième plaidoyer. Cette émission, aujourd’hui et la plus grande forfaiture radiophonique de la décennie ! Cordialement en attendant les réponses du médiateur.

Bonsoir, Nous sommes quelque peu interloqués par le temps de parole que votre chaîne (France Info) a offert par deux fois à Madame Balkany. En effet, par deux fois ce temps de paroles étaient consacrés à laisser deux accusés, condamnés par la justice française à exposer des arguments fallacieux. Quant à l’agenda de madame Balkany évoqué ce soir, tous les français seront fort aise de le connaître ! Bien à vous

Quelle honte Radio France interviewe la femme de Balkany le jour de sa condamnation à 3 ans de prison. Quand, un voleur lambda passe-t-il sur votre antenne pour se justifier? Vous êtes des pourris puissance 1000 !

Je m’étonne de la grande « connivence » du journaliste avec Isabelle Balkany, invitée à s’exprimer aux « Informés » quand il n’y a jamais interventions extérieures aux invités. La laissant répandre ses contre-vérités en toute impunité, disant qu’il n’y a pas d’argent public concerné…
Sans jamais la démentir, (au fait la fraude fiscale cela ne concerne pas l’argent public ?)
Pour une fois qu’une affaire fraude fiscale va au bout, malgré les incessantes manœuvres dilatoires des intéressés, le journaliste pense qu’il faut donner la parole aux magouilleurs, donner à croire qu’ils sont victimes d’une cabale et faire pleurer sur eux…
Du grand journalisme !

Arrêtez de défendre Balkany, c’est insupportable, respectez les décisions de la justice, pour une fois qu’elle agit dans ce domaine

Cela fait trente ans que les Balkany se moquent de l’Etat français et particulièrement du fisc. Enfin la justice les rattrape et qu’entend-on ? On donne la parole à Isabelle Balkany pour qu’elle parade devant qui veut bien l’entendre particulièrement sur franceinfo.
Cette femme est condamnée à 3 ans de prison (d’ailleurs, que fait-elle dehors) et est interviewée comme une vedette ! Non une radio nationale ne peut pas, sans réagir, laisser une condamnée affirmer qu’elle et son mari, escroc en chef, sont victimes d’un complot !
Et que dire de certains habitants de Levallois qui regrettent les cadeaux qu’ils ont reçu de leur maire qui, pour les faire, a largement « tapé dans la caisse » . Tout cela est écœurant je veux que vous preniez en compte ce dégoût que cela m’inspire.

Je suis choquée de l’attention accordée à M. Balkany et surtout du ton adopté qui en fait une victime. En plus du Xième micro-trottoir de Levallois-Perret (un vrai marronnier quand on parle du sujet Balkany) faisant s’affronter une majorité de « pro » et quelques « contre » parmi les administrés de cette ville qui reste une des plus endettées de France, nous avons droit à des interviews complaisantes de Madame Balkany (comment votre mari se porte-t-il ?) en pleine action à la Mairie (malgré son soi-disant état de santé) ainsi que de Maître Eric Dupont-Moretti qui prend des accents d’injustice. C’est tout juste si la journaliste ose dire qu’on parle quand même de sommes importantes.
Cet homme vient d’être condamné à 4 ans de prison par notre système judiciaire pour des faits de corruption et France Info lui offre une tribune sur un plateau d’argent.
Quand rappellera-t-on que la corruption, même pratiquée par des personnes qui peuvent sembler sympathiques, est la mort de nos démocraties et la cause d’un appauvrissement généralisé ?
En tant que radio de très grande écoute, je ne comprends pas que le temps d’antenne accordé à certains sujets ne soit pas mieux contrôlé. A moins, effectivement, que la rédaction de France Info n’ait finalement une grande sympathie pour M. Balkany et ses pratiques mais je n’ose le croire.

Scandale, franceinfo donne la parole en direct dans les informés à l’epouse Balkany qui vient d’être condamnée à 3 ans de prison ferme par la justice de la République française. Elle n’a pas droit à la parole, elle n’a pas à être écoutée,  elle vient d’être jugée. Elle prend la parole depuis son bureau de la mairie alors qu’elle n’est pas incarcérée pour raison de santé, quelle radio de caniveau faites-vous ? Vous êtes des fonctionnaires. Vous n’avez pas à ouvrir l’ombre d’un doute sur un jugement qui fait suite à une enquête de plusieurs années,  votre démarche est ignoble, vous faites de l’audimat et non de l’info, abjecte. Payer une redevance pour cela jamais.

Patrick Balkany. Depuis deux jours, sur toutes les chaînes de radio et de télévision, c’est l’apologie de ce pauvre homme condamné à de la prison ferme. Un tel comportement de nos médias aide à faire l’apologie de la pègre. Est-ce scandaleux d’être condamné lorsqu’on fraude ? Est-ce une incitation à agir de même ? Arrêtez de faire indirectement pression sur les juges. Les médias perdent de la crédibilité et je m’éloigne d’eux de plus en plus. Quel drôle de monde ! Et je ne parle pas de l’invasion sur vos antennes de la pub que je boycotte (annonces et produits).
Merci pour votre attention.

Bonjour
Je vous ai écrit hier pour dénoncer le fait que la journaliste de France Info couvrant le procès Balkany l’appelle Isabelle comme si c’était une vieille copine à elle et crée ainsi de fait un familiarité tout à fait déplacée avec une délinquante financière. Je n’ai bien sur eu aucune réponse mais pire encore la connivence indécente de France Info avec les puissants continue :je découvre sur le site ce matin une interview « d’Isabelle » d’une complaisance et d’une indigence rares : que des questions d’émotions sur le « ressenti » de la peine, mais rien sur les faits sanctionnés (« pourquoi Mme Balkany avoir fraudé le fisc pendant 20 ans ? ) ni sur les contradictions de la dame (très fatiguée mais pouvant quand même sans problème assurer l’intérim à la mairie !). Bref une interview d’une copine où on ne pose aucune question dérangeante et où on tente de faire passer la coupable pour une pauvre victime. Le degré zéro du journalisme. Un simple coup d’œil sur les commentaires sur votre site comme sur ceux laissés sur le site du Monde et du Figaro vous montrera l’abyssal décalage entre votre traitement complaisant et sirupeux et le point de vue des internautes….
J’attends avec impatience votre énième émissions sur pourquoi les gilets jaunes n’aiment pas les journalistes et pourquoi les Français sont de plus en us défiants à l’égard des médias ? Regardez vous un peu le nombril, regardez le traitement cette affaire Balkany et vous comprendrez !
Bien à vous

Est-ce que l’incarcération de de Patrick Balkany justifie réellement un traitement aussi large ? Je veux dire, à part les Levalloisiens et des nostalgiques du RPR, est ce que ça concerne le reste du pays ? Je comprends que l’on couvre le procès et le jugement… mais là… tant que l’appel n’est pas étudié, à quoi ça sert, ? Il est en prison, il ne se passe rien.
Depuis 8h ce matin j’entends vos journalistes péniblement meubler sur « sujet ».

Bonjour.
Je vous suis depuis votre création et je me rends compte, grâce au mouvement des G.J., que votre manière d’informer vos auditeurs est complètement orientée voire dictée par votre adhésion au système en vigueur qui vos assure une vie confortable ou que vous receviez des ordres du pouvoir en place.
Vous vous dites « journaliste », peut-être est-il dérangeant de ce remettre en question, cela vous obligerait éventuellement à changer de vie et ce ne serait pas confortable?
Ce matin, vous publiez deux exemples édifiants:
– des témoignages de commerçants nantais face à l’organisation de la manifestation nationale des G.J.. Tous ces témoignages mettent en évidence le danger que représente ce mouvement social pour des gents qui veulent coûte que coûte faire du pognon et à aucun moment l’idée que beaucoup de ces « violents insurgés » sont maintenus dans un état de précarité incroyable ne fait son apparition.
– le fait que Mme BALKANY prétende assurer l’intérim à la mairie de LEVALLOIS-PERRET alors que celle-ci vient d’être lourdement condamnée, à 3 ans de prison ferme pour fraude fiscale.
Vous annoncez cela sans souligner l’incompatibilité de son comportement avec la vie républicaine et la morale politique.
Face à votre attitude et ne souhaitant pas être désinformé plus longtemps, je vais aller voir ailleurs, je ne sais pas encore où mais ailleurs.
Madame la Médiatrice, je vous invite à signaler à votre staff de ne pas perdre de temps à me répondre, j’aurais du mal à faire confiance à leurs arguments.  

Stop, je n’en peux plus des jérémiades et des pleurnichardes pour M. Balkany. Voilà un monsieur qui a déjà été condamné à plusieurs reprises pour divers délits, qui vit sur les contributions publiques, qui a largement profité de nombreuses protections pendant des années, qui a manœuvré pour échapper à la justice. il est condamné pour avoir volontairement triché pour le paiement des ses impôts, qui a profité de l’argent public pour s’offrir villas et palais luxueux pendant que des millions de français peinent pour survivre. Il est récidiviste et doit donc avoir des peines planchers, chères à son copain Sarkozy.

Bonjour,
Le maire de Levallois est enfin condamné et nous trouvons cela normal vu la monstruosité des faits dont il est coupable. Mais j’ai été choquée ce matin d’entendre une journaliste se réjouissant d’avoir rendu visite à une conseillère municipale dans un  » squatt parisien ». Le squatt étant d’ailleurs à Saint-Denis, sur le site du futur village olympique. L’élue dit qu’elle ne prendra pas « l’habitude de payer un loyer » car elle ne touche que 1 500€ d’indemnité. Elle dit qu’au lieu des jeux olympiques on devrait favoriser les activités culturelles et solidaires à Saint-Denis (avec les impôts des habitants du coin).
Précisons que pour être élue à Paris elle doit justifier d’une résidence dans son arrondissement.
Le squatt c’est aussi du vol, et le plus souvent, le vol des citoyens locaux qui contribuent par leur impôt à l’aménagement urbain. Le squatt c’est le plus souvent en Seine Saint-Denis, là où il a le plus de logements sociaux, et de très intéressantes activités culturelles et solidaires.
La journaliste a l’air de trouver ça normal, et la radio du service public relaie sans broncher ces comportements de la part d’une représentante de la légalité républicaine. Cela ne m’empêchera pas de rester fidèle à France Inter et France Musique.
Bien cordialement.

Je suis choqué par le temps d’antenne dans la matinale de Franceinfo consacré aux supporters de M. Balkany. Depuis son incarcération, largement méritée, ont défilé au micro, en direct : un adjoint au maire de Levallois-Perret, l’avocat de Patrick Balkany et ce matin encore, le même adjoint au maire pour nous servir le même discours. Et, à ma connaissance, pas de temps de parole à l’opposition municipale qui ne doit pas être du même avis, ni à l’association des contribuables de Levallois-Perret. Franceinfo fait preuve d’une certaine complaisance vis-à-vis de ce délinquant de longue date, condamné et incarcéré à juste titre.

Bonjour,
Je suis un fidèle auditeur de France-Infos et en particulier des « informés », depuis des années…
Je viens de décider, ce soir, là maintenant, que c’était fini.
J’écouterai toujours France Infos le matin mais fini pour moi les Informés.
Je ne sais pas qui décide des choix éditoriaux, mais les invitations à répétitions de Mme Balkany (qui n’en demandait sans doute pas tant) et à qui on offre une magnifique tribune médiatique à l’approche des élections, a fini de m’écœurer.
J’ai vraiment du mal à croire que le traitement de l’information se résume à laisser cette dame essayer de nous faire croire que c’est injuste, que son mari chéri va mal en prison (en VIP tout de même…) et qu’elle tient le coup comme elle peut, se ressourçant sur les marchés de sa bonne ville, suffisamment malade pour échapper à la prison mais pas assez pour se présenter aux élections..
Je trouve cet épisode médiatique, beaucoup trop relayé, et j’ai été ravi, ce soir, d’entendre une des invitées « informée », dont j’ai oublié le nom, pardonnez-moi (comme dirait Janique Halimi, en ne lachant jamais la parole pour la laisser un peu aux autres.. ) répondre au journaliste :  » on en parle trop !  » et un instant, ce cher Monsieur, visiblement déstabilisé, lui demander : ah.. bon ?  et pourquoi donc ?  ( … )
Quoi qu’il en soit, merci d’avoir pris le temps de me lire.
Je dis  » au revoir  » aux  » informés de France Infos « , peut-être à bientôt.. ?
Pour le moment, en tous cas..je prends mes distances.
Bonne soirée.



Merci de nommer un viol : un viol

Merci beaucoup d’avoir remis les points sur les i si justement, au sujet de ce rapport américain sur les « 1ères fois », si mal nommé.
J’ai été cette ado qui a vécu un viol alors qu’elle était vierge… j’ai toujours passé mon tour quand on se racontait « nos premières fois » entre copines, parce que je ne pouvais pas considérer ça comme ma première fois… mais bien comme un dépucelage (malheureusement millénaire).
Le fait que cette étude ne prononce pas le mot viol et que les journalistes (pour la plupart) reprennent, gênés, les mots de l’étude, pour dénoncer ce fait, mais sans le nommer, m’a aussi retourné la tête ces derniers jours.
Alors merci d’exprimer tout haut ce que j’avais du mal à me formuler !

Les larmes ont coulé de mes yeux ! De dégoût mais aussi de soulagement à la fois car ses mots sont si justes, réconfortants et nécessaires.
Merci Giulia, j’aimerai que toutes les femmes entendent vos mots, et tous les « assassins sans cadavre » aussi !

Excellente chronique de Giulia Fois sur France inter à l’instant ! Le sujet : une étude américaine qui parle de « pénétration forcée » en parlant de la première fois de milliers de jeunes américaines. Il n’y a qu’un mot et qu’une réalité pour désigner le viol : l’horreur.

Ah la belle chronique de Giulia Fois ce matin sur France inter ! Ces « premières fois » assassines qu’il faut bien nommer « viols ». Et toutes ces violences assénées par un lâche ou un crétin pour affirmer sa domination. STOP, ça suffit. Éduquez vos garçons. Merci pour l’humanité.

Merci pour la chronique de ce matin. Parfaitement claire pour ceux qui douteraient encore.

« excellente » et « Giulia Foïs » dans la même phrase, c’est assez pléonastique…

Bravo Giulia, et à vous Ali qui avez le « courage » d’inclure cette chronique.
Le déni dans le vocabulaire, la honte ! Remettre à sa juste place. Montrer les manipulations mentales . C’est dans votre espace que je viens « rendre hommage  » à Giulia, à ces chroniques salvatrices. En découvrant toutes ces dernières enquêtes, je me rends compte de la CHANCE que j’ai eue de ne pas vivre ces ….expériences comme Giulia l’a si judicieusement dénoncé ce matin.
MerciS et longues vies à vos émissions qui DISENT.

La chronique de Giulia Fois ce matin est super costaud et essentielle. #PasSonGenre

Vers 10:30 vous avez nommé les choses. Je ne suis pas objectif dans l’affaire puisque marié à une américaine qui était jeune, pauvre et noire quand elle a été violée. Si à 4-5 ans elle faisait partie d’une femme sur 16, à 16-17 ce n’était plus « la première fois ». Et non sa mère n’a pas porté plainte.
À quand un même coup de gueule à propos des viols de guerres : les maris qui répudient leur femme victime d’un viol de guerre sont des traites à leur patrie ? Et si les faits (non seulement le viol mais la répudiation) étaient poursuivis les femmes seraient moins souvent victimes car le viol aurait perdu une partie de sa « raison » d’être.

La chronique de Daniel Morin dans La Bande Originale





M. Morin et M. Nagui, Pudeur dites-vous au sujet de la manif des avocats et médecins cet après-midi ? Mais pudeur de quoi ? Savez-vous que 50% des avocats gagnent le SMIC, après une moyenne de 6 à 8 années d’études, minimum 60 heures de travail/ semaine et une pression dingue? Alors pudeur par rapport à qui? A un animateur radio? A un intermittent du spectacle? Pourquoi la réserve des retraites des avocats, 100% financées par les avocats, devrait-elle être spoilée? Pourquoi devrais-je cotiser deux fois plus pour à peine toucher 1100 eurs à la fin de ma carrière (pas avant 70 ans)? Pudeur? Pudeur par rapport à votre salaire peut-être, pour juste parler derrière un micro avec ZERO enjeu à la fin de votre journée? Avez-vous réglé le dossier d’une personne en difficulté à la fin de votre semaine? Avez-vous plaidé devant un juge avec la pression que le client dormira peut-être dans une cellule? Avez-vous travaillé au titre de l’aide juridictionnelle soit quasi gratuitement juste pour aider les autres, au mépris de l’économie de votre cabinet? Pudeur, je vous retourne le mot.
Au plaisir d’en discuter



Monsieur Morin
Je suis infirmière libérale, oui je sais un gros mot à vos yeux, je suis dans toutes les villes, les campagnes les doms les toms a la mer comme à la montagne. Je vais où plus personne ne va parce ce que trop dangereux trop éloigné trop sous peuple. Je soigne sans discrimination de couleur d’obédience de sexualité, juste avec une carte si vous pouvez me la donner. Vous savez cette carte verte que vous possédez vous aussi pour vous soigner celle la même qui aujourd’hui est en danger parce que ce que vous oubliez de dire dans votre chronique ce matin sur ces très très méchants nantis qui veulent pas payer. C’est que bien plus que vous ne le pensez c’est une atteinte des services publics, parce que cette réforme ne va pas impacter les gros cabinets d’avocats non mais les petits qui eux acceptent de défendre les « indigents » et nous les infirmières qui prennent le tarif secu pour vous soigner. Alors si vous voulez, défendre les services publics, vous êtes le bienvenu pour venir nous rendre visite à nous les nantis de cette société


Bonjour ,
En écoutant la chronique de Daniel Morin chez Nagui ce 16 septembre, il me vient une question : celui-ci s’est-il bien renseigné sur qui manifestait et pourquoi?
Sait-il que dans le lot des manifestants, il y a aussi des infirmières, des kinés, des orthophonistes … ?
Daniel Morin se renseigne-t-il des implications de la réforme et des salaires que nous touchons réellement?
Laissez-moi expliquer…
Je suis kiné libérale.  Une séance de kiné c’est en moyenne 17 euros pour 30 min de consultation individuelle. Sur ces 17 euros c’est 50% qui sont ensuite redonnés a l’Etat avec nos différentes charges. Et ces charges augmentent toujours : hausse de la CSG en 2018, et maintenant on veut nous doubler nos cotisations retraites ?! Rappelons que nos honoraires eux, n’ont pas bougés depuis 2012.
Alors vous allez dire, 17 euros de l’heure, c’est pas mal! C’est vrai. Mais comptez donc l’absence de congés payés, d’indemnité chômage, un congé maternité ridicule, et 90 JOURS DE CARENCE (oui 90!) en cas de maladie. Je travaille 42h par semaine aussi, sans compter les heures d’administration pour lesquelles je ne suis pas payée.. 
Cette réforme, savez vous qu’elle risque d’impliquer des fermetures de cabinets?
Posez-vous la question : dans ce cas, qui sera le plus affecté si les infirmières, les kinés, les podologues, les orthophonistes et même les médecins (ces nantis!) disparaissent ?
Pensez-vous que la Santé en France a vraiment besoin de ça ?
J’espère que Daniel Morin pourra prendre connaissance de toutes ces questions. Et aura l’intelligence de ne plus faire de la désinformation.  Nous sommes des professions difficiles a mobiliser car nous ne pouvons pas déserter nos cabinets surchargés . Nous n’avons pas besoin de discrédit. 
Merci.


 
Cher Monsieur,
Je fais partie des auditeurs de France Inter qui apprécient, en général, les chroniques de cette radio.
J’ai cependant été particulièrement déçue par les propos tenus dans votre chronique de ce jour, au sein desquels vous associez les médecins et avocats aux… pilotes de ligne, pour in fine vous moquez du mouvement de grève de ce jour.
Manifestement, vous avez sciemment omis de préciser que les avocats et les médecins assurent quotidiennement une mission de service public, au service notamment des plus démunis.
Manifestement, vous vous permettez des jugements de valeurs fondés sur des préjugés, sans vous être renseigné.
Est-ce vous qui assistez tous les mois et ce, même la nuit, des migrants placés en garde-à-vue, bien souvent mineurs, qui dorment dans la rue, affamés, désemparés, les jours fériés et les WE tout comme moi et mes confrères ?
Est-ce vous qui passez votre nuit au commissariat et enchaînez le lendemain sur les audiences de pénal d’urgence comme moi et mes confrères ?
Est-ce vous qui assistez les plus démunis devant le Juge de la liberté et de la détention sur vos WE tout comme moi et mes confrères  ?
Vos propos démontrent tant votre méconnaissance totale de la réalité de notre métier, celui de défendre et d’assister un être humain, que de la réalité du chef d’entreprise.
Savez-vous qu’assister un mineur en composition pénale est payé 46 Euros H.T. par l’Etat ?
Dois-je vous expliquer que le chômage n’existe pas pour une profession libérale ? Que si je n’ai pas de client demain, je ne peux plus faire face au quotidien ?
Avez-vous ne serait-ce qu’une idée du temps nécessaire pour réaliser une comptabilité ? Savez-vous ne serait-ce que faire la différence entre chiffre d’affaires et bénéfices ? Connaissez-vous le montant de nos charges obligatoires ?
Dois-je vous expliquer que lorsque je suis en vacances je ne suis pas payée ? Que je ne peux pas compter sur des subventions publiques pour que mon cabinet puisse tourner ?
Dois-je vous expliquer que de nombreux confrères ne peuvent plus se payer des vacances depuis longtemps ?
Dois-je vous expliquer qu’en tant que femme cheffe d’entreprise, je redoute que m’absenter pour une grossesse dans la mesure où cela va avoir des conséquences directes sur mes clients et sur mon chiffre d’affaires (et donc sur mes capacités à faire face à mes charges) ? Quel client apprécie que son avocat ne soit pas là quand il en a besoin ?
Je vous invite à venir dans mon cabinet, découvrir la réalité.
Je vais même vous faire une petite confidence, Cher Monsieur, je ne compte plus, en 7 années, les jours où j’ai dû contenir mes larmes face aux souffrances de mes clients, de tenir la main de cette mamie que son mari abandonne du jour au lendemain, de défendre ce gamin, présentant une maladie mentale peu connue , abandonné par son père, qui est jugé comme ses autres copains qui eux ne sont pas malades, à écouter le dernier cri du cœur de celui qui, après le verdict, va passer sa première nuit en prison.
Combien de soirées en 7 années où je suis rentrée bouleversée par la souffrance de mes clients, combien de nuit sans dormir parce-que j’étais inquiète pour eux ? Combien de fois j’ai eu peur qu’une de mes clientes soit battue par son mari violent ? Combien de fois j’ai redouté qu’un autre se suicide ? Combien d’heures de travaille acharné pour les aider ? Combien de WE, combien de vacances à les rassurer ?
Ah et j’oubliais, est-ce que vos stagiaires à France Inter sortent en larmes de vos émissions ? Parce-que moi, mes stagiaires, ils sortent en larmes des audiences du Juge des enfants, après avoir assisté à des familles qui se déchirent, à ses enfants placés, à cette violence quotidienne. Et puis je ne vous parle même pas des audiences correctionnelles … D’ailleurs vous avez déjà assisté à une audience au pénal ? Nous, avocats, on se blinde car on a pas le droit de flancher, on a pas le droit car nos clients compte sur nous. On planche toute la nuit, on ne mange pas, on sèche les larmes. Parfois même nos larmes face à certaines condamnations, à certaines injustices que nous tentons pourtant de combattre chaque jour, en cachette, entre deux audiences. Vous savez ce que c’est que de défendre une gamine de 10 ans qui a tenté de se suicider ?
Nous, médecins et avocats, assurons un service public nécessaire à l’équilibre sociétal. Nous gérons les problèmes des autres, les conflits, les gens qui pleurent, que dis-je, qui hurle leur souffrance, qui sont parfois violent envers nous (dois-je vous parler de cette consœur agressée par un client schizophrène ?) ?
D’ailleurs vous n’avez certainement aucune idée du nombre de personnes malades que nous défendons régulièrement, vous savez, ceux que la société ne veut pas voir, ceux que vous ne voyez jamais du haut de votre tour de radio ?
Si vous connaissiez nos métier, vous n’auriez jamais tenu ces propos désobligeants.
La condescendance que vous avez eu envers la profession d’avocat et de médecin dans votre chronique ce matin est insultante et blessante. Nagui parle de décence, mais elle est où la décence dans vos propos ? Vous vous moquez des médecins qui soignent nos malades et des avocats qui défendent les libertés …
Alors, bien entendu, il y a toujours situation plus difficile que la sienne. Bien entendu, il faut parler de la souffrance des personnes démunies. Evidemment.
Je ne crois pas cependant que les professions libérales ont l’habitude de se plaindre : c’est d’ailleurs pour cette raison que vous ne connaissiez peut être pas la réalité que je tente de vous expliquer puisque cela semble vous échapper totalement.
Je vous rappelle que si ceux qui défendent les plus démunis sont en grève, c’est tout d’abord parce qu’ils en ont le droit. Merci de respecter ce droit et de respecter ceux qui sont présents au quotidien pour assurer les services publics nécessaires à notre société.
Vous étiez tellement mésinformé que vous ne vous êtes certainement pas rendu compte que vous avez aussi insulté, au passage, les infirmiers, kinés, orthophonistes et tous ceux qui ont, aujourd’hui, fait valoir leur droit de grève.
Vous l’aurez compris, tout ça pour vous dire, Cher Monsieur, que votre chronique n’était pas drôle.
Moi aussi je pourrais critiquer votre profession, juste pour rire, juste pour faire du buzz/de l’humour, je pourrais même vous dire que je trouve que ce n’est pas à la hauteur de France Inter… Je pourrais aussi vous parler de décence de ceux qui confortablement installés derrière leurs micros (oui parce-qu’en effet je pense que c’est un peu plus agréable que les geôles qui sentent la pisse si ce n’est autre chose) Mais vous savez quoi ?
Je suis épuisée.
Je n’ai pas le temps de rigoler derrière un micro à me moquer des autres sur la base de préjugés (ben oui, pourquoi s’embêter ?) pour donner des leçons de moralité.
Je vais donc retourner à mes dossiers et à mes clients qui, eux, savent qui je suis et ce que je fais pour eux au quotidien. Je ne suis pas un nantis, je ne suis pas indécente, je suis l’épaule sur laquelle mon client pleure, celle qui sent les tremblements de mes clients à l’annonce du verdict et qui tremble avec lui, celle qui accompagne cet enfant devant un Juge dans ce monde qu’il ne peut comprendre, celle qui travaille à l’AJ totale, celle qui accorde des délais de paiement sur 18 mois quand mes clients n’ont pas le droit à l’AJ, celle qui donne des consultations gratuites dans les maisons de justice et du droit, celle qui ne se fait pas payer par certains clients malhonnêtes … Bref, toutes ces choses auxquelles vous n’avez vraisemblablement pas pensé en rédigeant votre prose car vous ne savez même pas de quoi vous parlez. C’est presque drôle en fait car vous vous permettez de donner des leçons à des gens qui, pour la plupart, vivent moins bien que vous et vous ne vous en rendez même pas compte. C’est ça votre définition de la décence ?
Tout ce que nous demandons c’est de pouvoir faire subsister nos petits cabinets de proximité car c’est la justice de demain qui est en jeu et donc la défense de nos clients, ceux d’ailleurs qui contrairement à vous, nous on soutenu aujourd’hui ! Incroyable, n’est-ce pas ?!
J’étais furieuse ce matin quand j’ai entendu votre chronique et puis j’ai regardé ce beau bouquet sur mon bureau depuis la semaine dernière, offerte par une cliente, et puis j’ai également reçu ce client en RDV aujourd’hui (car oui nous sommes en grève, mais oui on travaille quand même car on ne laisse pas tomber nos clients, c’est ce qui s’appelle la conscience professionnelle) que nous avions « raison de nous battre ».
Alors si vous n’avez pas compris Cher Monsieur, tant pis pour vous, ceux dont personne ne parle, ceux que nous défendons tous les jours (même les jours de grève), eux, ont compris.
Et c’est ce qui compte à mes yeux.
 




Cher M. Morin,
Je viens d’avoir la malchance de tomber sur votre chronique du jour et c’est encore tremblante de rage que je vous écris !
Vous avez consacré votre laïus à la manifestation d’aujourd’hui des professions libérales contre la réforme des retraites. Dans votre grande finesse vous vous êtes évidemment moqué courageusement des médecins, des avocats et des pilotes de ligne que vous avez bien évidemment opposés aux travailleurs pauvres afin de renforcer l’incompréhension de notre combat.
Oui je dis « notre » combat parce que je ne suis ni médecin, ni avocate ni pilote de ligne mais je suis ORTHOPHONISTE et, comme beaucoup de mes collègues de professions paramédicales, je suis concernée par cette réforme ! Alors avant de vous gargariser du ridicule de la situation entre chroniqueurs bien pensants sûrement beaucoup mieux payés que nous, sachez Premièrement que les médecins, avocats et pilotes de ligne sont loin de tous rouler sur l’or. Et essayez ensuite de vous renseigner un minimum sur le sujet que vous traitez pour éviter de débiter autant d’âneries à la minute !
Vous pourriez par exemple en discuter avec votre collègue le bienveillant Baptiste Beaulieu qui doit pouvoir vous renseigner un peu mieux sur le sujet.
Un grand merci à La bande originale d’utiliser un grand média comme France Inter pour participer à la désinformation de nos concitoyens !



Je ne peux que regretter le contenu de la chronique de M. MORIN qui ironise sur la situation financière des avocats. L’étant moi-même, je dois lui rappeler que plus d’un tiers de la profession gagne seulement 1200 €/mois, soit un revenu avoisinant le SMIC après 7 ans d’études minimum. Que chaque acte et chaque conseil engage la responsabilité personnelle de son auteur. Que nous n’avons aucun droit au chômage, bien que cotisant chaque année dans des proportions bien supérieures aux salariés. Qu’en cas de maladie, notre régime de protection sociale ne s’actionne qu’après un mois de carence. Que nos congés ne sont pas payés. Que nous devons gagner chacun de nos clients, dont les honoraires assurent nos revenus une fois charges et cotisations payées. Ainsi, affirmer par l’ironie que les avocats sont riches et ne sont pas précaires est désolant et n’honore pas l’auteur de tels propos pétris de clichés. Ceux qui manifestent aujourd’hui ne défendent pas des privilèges, mais la sécurité minimale que doit leur assurer un régime de retraite autonome (autofinancé) et garantissant à chaque avocat (même ayant été malade, même ayant eu de faibles revenus, même ayant mis sa situation professionnelle en sommeil pour assumer une parentalité) une retraite minimale de 16 831 € annuels (soit 1365 € mensuels), quel luxe ! De grâce M. MORIN, arrêtez de dire n’importe quoi ! J’écoutais la bande originale depuis bien longtemps. Ce ne sera plus le cas désormais. Merci M. MORIN.


Bonjour Monsieur,
Je suis contente  d’être pauvre et de ne pas payer la redevance qui contribue à vous payer comme un privilégié. J ignore le montant de vos piges, élevé j’imagine volontiers, mais j’espère que la reforme de l audiovisuel fera en sorte que vos revenus baissent de 20 % au moins, ce qui sera le cas pour les avocats qui font un tout autre travail que le votre, à savoir ils font un vrai travail. Il me semble tellement stupide d’assimiler tous les avocats à des privilégiés, tout comme les médecins ou encore les infirmières ! Grâce à des gens comme vous, je n’écoute pratiquement plus France inter. Vous vous en foutez et c’est votre droit. Moi j’attends le jour où votre vulgarité n’aura plus la cote. Il viendra peut être.


Bonjour. Je suis masseur kinésithérapeute, en pleine tournée de domicile… Et j’entends la chronique de Daniel Morin de ce jour.
Je suis particulièrement choqué et outré. Cet après-midi, il n’y a pas que les avocats,  les médecins, et les pilotes de ligne qui défilent… Il y a également les infirmières, les kinés,  les ergothérapeutes, les orthophonistes… et toutes les autres professions paramédicales qui elles aussi fonctionnent en libéral, sur la base de tarifs fixés par la sécu, non libres, et inchangé depuis 15 ans sans possibilité d’évolution. Nous allons voir le montant de nos charges sociales augmenter de 15 % suite aux évolutions retraite demandées par le rapport Delevoye,  alors que notre caisse paramédical actuellement est bénéficiaire. Notre retraite à ce jour est à 65 ans et non plus tôt. De nombreux cabinets paramédicaux vont être obligé de fermer suite à cette augmentation…  et non, même su nous manifestons cet après-midi, nous ne sommes pas riches ( pour rappel, la séance de kiné est facturée 16 € brut, soit 8 € net  la demi-heure passée avec votre kiné  ! ! )
Il serait plutôt sympa de nous donner un coup de pouce, et d’expliquer que les paramédicaux libéraux sont en danger alors qu’il en manque déjà beaucoup,  et d’éviter les amalgames. Libéraux n’est pas forcément égal à riche, et n’est pas forcément égal aux professions dont on parle aujourd’hui, en nous occultant complètement…
Merci



Bonjour,
Petite réaction au passage humoristique sur la manif du jour des pilotes-médecins-avocats. C’était drôle, j’en conviens. Mais tellement facile et quel dommage qu’une radio comme France Inter contribue à véhiculer ces préjugés! Pourquoi ne pas regarder de plus près la réalité de la vie de 50% environ des avocats à Paris? Et de se renseigner sur les raisons de leur manif? C’est l’occasion, un travail de journaliste!





Elle était très drôle je dois avouer, mais c’est assez dur d’être médecin et d’être amalgamé aux avocats et aux pilotes de ligne, il n’y a plus une majorité de nantis chez les médecins et nous avons bien sûr le tort premier de ne pas le faire savoir. Un certain nombre d’entre nous lutte pour que maintenir un système de soins sévèrement mis en péril par la logique de profit. Bien sur même a l’hôpital nous gagnons plus que écrasante majorité des français mais rien de comparable à un avocat, un chirurgien esthétique en clinique privée ou un pilote de ligne sauf peut être en low-cost j’y connais rien. Bref, en tout cas je ne sais pas où atterrissent ces messages mais je trouve ça génial d’offrir cette possibilité de réaction à tous les auditeurs, bravo et merci.


Je suis très en colère d’avoir entendu la chronique de ce jour de Mr Morin sur les manifs du 16/9.
Je suis infirmière libérale. Et je suis en grève aujourd’hui pour défendre mon métier! Encore une fois. Nos cotisations retraites vont exploser pour un départ a 67 ans avec 900 euros. J’entends ce jour une chronique dévastatrice de M. Morin quand aux « nantis » qui manifestent! Merci des amalgames merci du soutien. Parce qu’aujourd’hui il ny a pas que les avocats et médecins. Il y a les kinés les infirmières les orthophonistes les sages-femmes. Qui essaient de se battre, pour continuer à vous soigner et qui essaient de défendre leur retraite!
Je suis vraiment très déçue de cette approche et de cette chronique. Merci de nous enfoncer. 
 


J’ai sincèrement ri lors du billet d’humour de D Morin! Peut-être quand même préciser que cet appel à la grève provient des médecins libéraux, à distinguer (nettement) des médecins hospitaliers. Bien à vous


Quelle déception moi qui d’habitude me marre bien en écoutant M. Morin mais là quelle chronique dégueulasse, poujadiste ! faire passer avocats et médecins pour des très riches! connait-il seulement leurs revendications, conditions de travail, les gens précaires défendus et soignés gratuitement? à quand une chronique sur la politique de Macron qui est en train de rendre exsangue le service public audiovisuel pour lequel il travaille ? cordialement mais attristée


Je déplore la désinformation de sa présentation humoristique sur la manifestation des professions libérales pour leur retraite. Concernant les avocats, il ne considère que les cabinets réputés parisiens importants en oubliant les collaborateurs d’avocats (qui ne sont pas salariés) et les jeunes cabinets qui fonctionnent seuls (sans associé ni collaborateur ni secrétaire). Et la province et l’outre-mer ne sont pas Paris. Il aurait dû écouter les explications hier, sur BFM je crois, d’une avocate sur la constitution de leur caisse de retraite qui a prévu le vieillissement de leur population et reverse déjà une partie au régime général dans le cadre de la solidarité.
Ainsi que ce matin un médecin interviewé par votre journaliste
Merci de faire une rectification adaptée demain à la même heure !
Une fidèle auditrice de France inter


J’affectionne l’humour et l’ironie et suis fan de Daniel Morin cependant je n’ai pas apprécié sa chronique vilipendant la manifestation des professions libérales. Ce ne sont pas tous des nantis roulant en Maserati. Mon fils est médecin à l’hôpital et mon petit fils avocat débutant. Si on ramène leurs salaires horaire par rapport à leurs heures de travail, ils atteignent un peu plus que le smic. Ne ramenez pas tous à quelques ténors du barreau ou médecins très très spécialisés. Quant à Nagui, il aurait dû tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de dire que ces professionnels manquaient de pudeur en manifestant pour leur retraite. J’ avoue que j’ai été choquée et peinée ce matin mais que je vous garde toute ma sympathie.


Cher Monsieur Morin,
Je valide votre humour et je ne peux m’empêcher de rire à votre chronique y compris celle d’aujourd’hui.
Mais si  jamais vous vouliez venir vérifier si je suis « riche », si j’ai une Aston Martin, un yacht à St Barth ou même une Rolex,…   je serai donc ravie de participer à vos chroniques toute pudeur gardée bien entendu.
Avec un peu de chance, vous ne serez pas déçu question décalage horaire
Blague à part


J’aime beaucoup vous écouter et j’apprécie votre ton, habituellement.
En revanche, je vous trouve injuste dans votre chronique de ce 16 septembre 2019 concernant la manifestation des professions libérales.
Je suis orthophoniste et si cette réforme des retraites passe, je devrai fermer mon cabinet.
Il en va de même pour de nombreuses professions paramédicales ou non. Il est question de doubler les cotisations et de changer le mode de calcul. Juste parce que nous avons des caisses AUTONOMES et que nous ne coûtons rien à l’état de ce point de vue. Juste parce que nos caisses sont équilibrées et que c’est donc une source d’argent facile pour l’état.
Il est question ici de préserver, entre autres, l’offre de santé et de justice. Cette réforme touchera tout le monde indirectement: moins d’infirmiers libéraux, moins de kiné, moins d’orthophonistes, moins de podologues, moins d’orthoptistes, moins d’avocats, etc. Vous imaginez le tableau ?
Alors, s’il vous plaît, ne croyez pas que nous soyons riches. Nous ne sommes payés que lorsque nous travaillons, nous avons 90 jours de carence en cas de maladie (QUATRE VINGT DIX JOURS !) et nous n’avons pas droit au chômage… Je suis très triste de voir le métier que j’aime en danger, je ne sais pas ce que je pourrais faire qui me passionnera autant, je n’ai pas envie de disparaître…
Merci de m’avoir lue.


Madame, Monsieur,
 
Fidèle auditrice de FRANCE INTER, et exerçant la profession d’avocat, je me permets de vous contacter suite à l’écoute de la chronique de Daniel MORIN au sujet de la contestation de la réforme des retraites et de la manifestation des professions libérales de ce jour.
 
Je suis particulièrement agacée d’entendre les propos tenus par ce chroniqueur qui ne connait manifestement pas la réalité de ces professions, et notamment de la mienne, se contentant de servir un discours simpliste et emprunt de clichés dépassés.
 
J’exerce la profession d’Avocat depuis bientôt 3 ans, et perçois une rémunération nette mensuelle de 1200 €, en travaillant entre 50 et 70 heures par semaine, outre le week-end.
 
Mon cas n’est pas isolé et concerne un très grand nombre d’avocats qui, parallèlement, croulent sous les charges (45 %), au même titre que d’autres professions libérales.
 
Le projet de réforme des retraites impliquerait pour notre profession une hausse des charges à 60%.
 
Il ne s’agit pas de préserver nos « privilèges » tel que le laisse penser votre chroniqueur, qui n’a visiblement pas approfondi son sujet avant nous invectiver, mais d’une question de survie des Cabinets à taille humaine, de Paris ou d’ailleurs.
 
Lesquels Cabinet défendent les justiciables fortunés ou non, demandeurs d’asile, chômeurs, etc…, sans distinction, et luttent au quotidien pour leurs droits.
 
Alors de grâce, cessez de céder à la facilité du discours au risque de favoriser la désinformation, l’animosité inutile entre citoyens et le mépris.


Je suis infirmière libérale. Je travaille en moyenne une bonne cinquantaine d’heures hebdomadaires. Je me lève très tôt et je peux rentrer très tard. En temps normal j’angoisse de peur de ne pas pouvoir payer mes cotisations. Si la réforme passe mes cotisations vont doubler et si c’est le cas je risque d’être contrainte d’abandonner…. il est où le privilège???? S’aligner sur les « pauvres » salariés ??? Quand ils sont malades ils ont 3 jours de carence, chez nous c est 90 jours (quatre-vingt dix jours) de carence. Ce qui me retient c’est la « liberté ». Je ne suis pas enfermée entre 4 murs. Si j’arrête le libéral. Je ferai une reconversion. Marre d’être méprisée.



Cher Monsieur Morin
 
Je suis habituellement un grand fan de vos chroniques dont j’apprécie l’humour acide. La toutefois je souhaiterais rétablir une vérité, je trouve cela injuste que les avocats soient considérés comme riches, le salaire médian (tout age confondu donc) n’est que de 45.000 euros bruts (soit autour de 2.500 euros nets), ce qui signifie que la moitié d’entre nous gagne moins que cette somme, pour des horaires largement supérieurs aux 35h, en réalité la plupart des avocats travaillent pour moins que le SMIC horaire (pour information dans la plupart des barreau la rétrocession de première année des collaborateurs libéraux est inférieur au smic mensuel). Oui il y a des avocats aisés et riches mais cette profession cache aussi une multitude de confrères pour lesquels les fins de mois sont difficiles, ce sont ces derniers qui assurent le service public de la justice (permanence pénales, garde à vue, commission d’office, aide juridictionnelle, etc) et qui vont subit de plein fouet l’augmentation des cotisation retraite. On peut avoir une opinion différente mais c’est injuste de traiter les avocats de nantis.
 

Erreur de titre dans un article consacré à Israël sur franceinfo





Bonjour,
Dans l’info de France Culture de 06h30, une fois de plus, le sujet le plus concernait Israel (tropisme oblige), et aujourd’hui le prétexte concernait les élections de demain. Avec l’usage de mots troubles comme « colonie » (usage trouble dont il a d’ailleurs été question dans l’émission de Tawfiq « le matin culturel » ).
S’il a été à nouveau question de la promesse électorale de Natanyahou d’annexion (en fait de territoires disputés abandonnés par la Jordanie), pas un mot, à nouveau, n’a été dit sur les menaces de destruction de l’Etat hébreu par Mahmoud Abbas ou le chef du Hamas tenus récemment, qui elles aussi vont devraient avoir une influence sur l’électorat (le fil conducteur du tropisme du jour).
Même tropisme durant le journal de 07h00 (oublié donc  les élections en Tunisie)… Cela dit il me semble que dans ce cas précis c’était la première fois qu’il a été question de la situation dramatique (ou existentielle) dans les localités israeliennes près de la frontière avec Gaza vivant sous la menace quotidienne des roquettes palestiniennes (made in Iran: ce qui n’a pas été précisé).




Colon à la frontière gazaoui???



Je suis surpris de voir qu’en l’un de vos correspondant, traitant de l’information du moment en Israël ait employé pour désigner des habitant du sud du pays Le termes «  colons » , ces habitant ne sont en rien des colons mais bel et bien. Des habitants, citoyens de l’Etat d’Israël. Ils résident dans un « moshav » autrement dit un »village agricole, face à gaza.
La désinformation flagrante engendre auprès des lecteurs un avis biaisé sur le sujet, dans le seul. Ut de de rendre illégitime la présence des ces personnes sur leur propres terres.
Par le passé nous avons pu en France être spectateurs d’attentas Perpétrés au nom des palestiniens par des individus dont le crâne avaient été bourré d’antisionisme au point de passer à l’acte et tuer du juif en dépit  de  pouvoir saigner de l’israélien!
Merci donc de bien vouloir rectifier cela au plus vite. 



L’article « Législatives en Israël : ces colons en mal de sécurité que Netanyahu a déçus » de ce jour 16 septembre décrit, dans le titre et le chapeau, les habitants d’un village frontaliers de Gaza comme des « colons » et le village comme une « colonie ».
Merci de bien vouloir corriger dès que possible cette information fausse, qui laisse entendre que tout Israël est une entité illégitime…

Le Téléphone sonne sur le développement personnel




Mais qui est cette philosophe insupportable qui réagit dans votre émission ? Sa négativité est délétère. Cette personne a visiblement eu les ressources pour philosopher de manière totalement autonome, tant mieux pour elle !
Il y en d’autres qui ont besoin d’un petit coup de pouce, de se mettre le pied à l’étrier.



Bonjour Fabienne Sintes
J’écoute en Podcast votre émission et ne peut malheureusement intervenir en direct. Madame de Funès ne connaît malheureusement pas très bien le sujet. Elle confond coaching et charlatanisme. Les critiques qu’elle formule correspondent à des pratiques de coachs incompétents. Mettre en avant la seule légitimité des psychiatres , psychanalystes ou psychothérapeutes, c’est oublier que dans ces métiers là aussi, chère Madame, il existe des charlatans ou des gens incompétents et dangereux. Il est quelquefois préférable d’avoir affaire à un coach formé 18 mois mais ayant fait suffisamment de ménage personnel, que tomber sur un médecin psychiatre avec 10 ans d’études mais sans compétences en psychothérapie ou pratiquant l’écoute passive et l’ordonnance de médicaments active.
J’ai personnellement eu affaire à ces interlocuteurs psychiatre, psychothérapie pendant 7 ans, tous compétents mais de métiers différents. Je suis chef d’une entreprise de 80 personnes et je me suis formée au coaching il y a trois ans. Je pratique le coaching en complément de mon activité. Ni lassitude professionnelle, ni réorientation professionnelle, ni incompétence professionnelle (en tout cas pas avérée)…Juste le constat qu’un coaching bien mené est efficace et utile, et est complètement différent d’une psychothérapie ou psychanalyse. Il vise le « comment « , sans passer par le « Pourquoi? », c’est quelquefois bien suffisant.
J’invite donc Madame De Funès à se faire aider pour traiter cette agressivité difficilement contenue contre cette profession, et pour sortir de la vision manichéenne et, à mon avis, simpliste, qui est la sienne (« les gentils psys, les méchants coachs »).
Me vient une idée : attiser la crainte contre le développement impersonnel en affichant un discours sans nuance, n’est ce pas une stratégie pour vendre plus de livres sur le sujet et tomber ainsi dans les abus qu’elle dénonce ?
A sa disposition pour quelques petites séances pas chères..
Je vous remercie, Madame Sintes, pour la qualité de vos animations et émissions.



Bonjour,
Je déplore le ton et la sélection de vos intervenants, visant visiblement à dénigrer délibérément et massivement le développement personnel (DP), (et l’homéopathie au passage ce qui donne bien idée de ce que ces personnes ne connaissent pas), sans doute car il n’ont pas vraiment pu ou su travailler sur eux.
Je suis médecin, j’ai 50 ans et ai énormément travaillé sur moi (psychanalyse pendant 8 ans puis différentes méthodes de DP qui m’ont permis de sortir, sans antidépresseur d’une crise du milieu de vie et d’évoluer de façon extrêmement positive, grâce à des pratiques psycho-corporelles que les sciences purement mentales ne pourront pas égaler en si peu de temps.  Lire des ouvrages de DP ne suffit pas  mais est une étape parfois indispensable, ou un préalable à un accompagnement. Il existe d’excellents accompagnateurs et thérapeutes, sains, non manipulateurs au service de l’Humain.  Je suis très déçue de la façon partielle dans vous traiter le DP. Il y aurait eu une manière bien plus intelligente de traiter ce sujet. Dommage encore une fois France Inter, vous donnez une idée fausse et simpliste de ce qui constitue des outils extraordinaires.


Bonsoir, je suis vraiment choquée par le dogmatisme péremptoire, jugeant, à la limite de l’insulte de votre invitée « philosophe » Julia de Funès. Amoureuse de la sagesse ? Cela me paraît incompatible avec cette attitude. Psychothérapeute je suis confrontée tous les jours à la souffrance et je trouve désastreux d’entendre ce type de discours et « d’anathème » que je croyais réservé au pire du patriarcat ultra-rationaliste ou à la grande majorité des pseudos scientifiques et universitaires borné.es. Et oui Madame De Funès, vous qui parlez d’idéologie, quelle est l’idéologie qui sous-tend le votre discours de discours  ?  J’imagine que si vous critiquez aussi bien le DP que l’homéopathie c’est que Dieu (pardon Socrate et Nietsche) dans sa grande bonté vous a indiqué une fois pour toutes où était la vérité (et là sûrement pas Descartes qui partait du doute me semble-t-il …). Idéologie et dogmes universitaires et patriarcaux (vous savez ce que vos chers philosophes ont dit des femmes je présume ?), largement aussi insupportables que les petits coachs et certes souvent bons business men dont vous parlez. Mais c’est surtout par rapport au public qui consulte que je suis choquée, car je fais confiance au narcissisme des coachs pour se dégager rapidement de vos commentaires lapidaires. Bon. J’ai fui un jour l’université à cause de personnes comme vous. Je vous remercie de me revalider dans mon parcours de vie … Et bravo à France Inter, j’ai vraiment essayé d’autres radios, et à part France Culture dur certains sujets pointus ou certains longs reportages, je n’ai pas trouvé mieux …


J’ai arrêté d’écouter votre émission avant la fin, je suis vraiment écœurée par ce qui ressemble à une chasse au sorcière ! Ne pas confondre s’il vous plait le développement personnel avec les livres qui traitent du sujet. Bien sûr qu’il y a des livres (allez la moitié voir plus) de complètement inutile et redondant, mais inviter une personne qui a un avis complètement tranché sur la question me choque.
Je pense que France Inter devrait être moins « pensée unique ».
Bien sur qu’il y a des mauvais coachs sans doute, mais avancer dans la connaissance de soi est merveilleux !!
« connait toi toi même et tu connaîtras l’univers et les dieux »  Socrate 
« commence par changer en toi ce que tu veux changer chez les autres » Ghandi.
trop étriquée votre émission dommage (je me garderai bien de dire c’était mieux avant ») c’est moi qui ait changé, appelez cela le développement personnel si çà vous chante.
C’est la première fois que j’écris à France Inter que j’écoutais à 19 ans çà fait plus de 30 ans. Je suis bien trop timide pour vous téléphoner. Ne vous enfermez pas dans votre tour d’ivoire. Il n’y a pas que les études et l’expertise intellectuelle qui aide les gens. Le cœur, le centrage, la connaissance de soi sont des alliées pour accompagner les personnes vers l’autonomie. Je ne suis pas coach mais assistante sociale.


Bonsoir, formateur en développement personnel, je suis révolté par le ton méprisant et narquois de votre invitée ce soir. J’ai la chance d’être le témoin privilégié de changement de comportements tangibles qui s’appuient par des conseils précis par le renforcement du sens de l’observation etc. Les livres comme ceux de Charles Pépin sont remplis de conseils concrets pour beaucoup de situations.
Bien cordialement Fabienne


Je n’ai aucun lien avec les professionnels du développement personnel, mais je trouve bien antipathique la façon dont Mme de Funès en parle.
A savoir de façon aussi hargneuse qu’il fut parlé de la psychanalyse, de l’homéopathie etc. …par des gens à qui ne vient pas l’idée qu’il vaudrait mieux connaître vraiment de quoi ils parlent et avoir fait les études correspondantes.
Au demeurant, je suis bien convaincue qu’il doit exister un assez grand nombre de coach valables, c’est à dire doués pour cette activité et foncièrement honnêtes.
Quand il s’agit de s’occuper des autres, l’honnêteté est la qualité première.





Bonsoir, je viens d’écouter, en partie, l’émission au sujet du développement personnel. Si Fabienne S. avait un parti pris au départ, si elle souhaitait ressortir la vieille polémique des psys face aux non-psys, si elle avait choisi d’imposer aux auditeurs un seul point de vue (« Tout ce qui est excessif est insignifiant », Mme de Funès et j’ajouterais « suspect »), bref, d’empêcher un réel intérêt pour le sujet, eh bien c’est réussi. Souvent le téléphone sonne pour moi, mais là non j’arrête, j’ai affaire à une vieille France apeurée et « très sûre d’elle » (comme le coup du chirurgien, Mme De Funès faut le faire), dommage. Fabienne, la prochaine fois, pourquoi pas faire preuve d’un peu plus de démocratie en invitant des personnes plus ouvertes et un peu moins bornées ? Merci.


Bonsoir.
je dois reconnaître, que je suis plutôt irritée, par le fait, de descendre en flamme, comme ça, le développement personnel…
OK, qu’on condamne, le business, qui ça génère, je comprends.
Moi, quand j’ai pété les plombs, il y a bientôt, 20 ans, si internet, avait existé, et que ‘ai croisé quelqu’un, qui me mette sur cette voie, peut être, que cette dépression, ne serait jamais arrivée, c’est même quasiment certain.
le souci, réside, dans le fait, que personne, n’a le courage de prononcer le mot SOUFFRANCE….
car il est là, le problème, quelqu’un, qui souffre,  recherche de l’aide,  et cherche à être acteur, de sa guérison.
il faut noter qu’il faut faire le parallèle avec le mépris que ressentent beaucoup, lié à la robotisation, et au chômage.
plus on merise politiquement, l’être humain, plus il a par réflexe, tendance à trouver ses béquilles.
A bientôt.


Bonjour Madame Sintes,
J’ai écouté hier l’intégralité de votre émission sur le développement personnel.
Je suis coach en entreprise et j’accompagne des managers et des équipes.
J’ai trouvé que votre invitée Julia de Funès était très clivante, les « bons et les méchants », un discours très généraliste. Je suis curieuse de savoir si son discours repose sur une étude concrète, scientifique tel qu’un sociologue aurait pu la mener. (Nombre de personnes interrogées, typologie des personnes interrogées, définition des différents concepts utilisés ..). Dans la profession du coaching comme dans celle des serruriers, des médecins, il existe des professionnels qui respectent une éthique professionnelle. Bien sûr, le sujet est très intéressant, c’est un marqueur de notre société actuelle.
Ma plus belle expérience en coaching ? Une femme de plus de 50 ans, fille de harki qui a décidé de reprendre son vrai prénom Rabiha, (et non plus Béatrice) suite à un travail de groupe, en partant de sa situation professionnelle.
Posture du coach : pas de sauvetage, un processus et un cadre clair, ce qui permet un groupe respectueux et impliqué dans le questionnement sur la problématique managériale vécue et présentée par Rabiha.
Dans cette situation, l’impact du groupe accompagné a été très fort, au delà des effets escomptés, au delà d’une simple problématique managériale.
Bien à vous


Mais qui est Julia de Funès avec son mépris et son arrogance? Fidèle auditrice d’Inter et preneuse des débats d’idées, juste proposer un fil : et si les coachs apportaient aux témoins et utilisateurs souvent en souffrance venaient chercher chez ces non experts si peu philosophe ce qui lui manque ici cruellement : de la bienveillance.
Espérant qu elle n’en aura jamais besoin du haut de ses jugements qui manquent de ce qu elle prône : l’ouverture a autrui.


Bonsoir
J’écoute actuellement l’émission.
L’essor du développement personnel ne peut-elle pas être vue comme une conséquence de la crise que connait la psychiatrie en France depuis de nombreuses années (manques de moyens humains et financiers, préjugés, « peur du psychiatre », etc) ?
Merci pour votre émission et la richesse du débat.


Je pense que si les gens ont besoin de recourir au développement personnel, c’est parce qu’ils sont déracinés des besoins essentiels, vitaux chez l’être humain, à savoir un rythme de vie sain (temps de sommeil et repas corrects pour le corps), pas d’agressivité, et prendre le temps de vivre. Les gens ont perdu pied parce qu’il ont abandonné, sans s’en rendre compte, les valeurs essentielles de la vie, remplacées par des choses futiles et secondaires (la voiture, le paraître, la consommation à crédit, etc…). Certes c’est un résumé, mais qui, à mon avis concerne beaucoup de personnes.


Je travaille dans une librairie et je vois souvent des gens acheter ce type de livres comme si c’était une solution à tous leurs problèmes, le secret du bonheur….Ils parlent aussi souvent de coachs de ci de ça….Moi ça m’agace beaucoup tout ce business autour du bonheur. Je trouve en particulier très dangereux de remettre sa parole à des gens formés par je ne sais qui, je ne sais combien de temps, sans aucune compétence en ce dans le domaine de la psychologie…Franchement ça fout la trouille ! Lisez donc l’Alchimiste de Paulo Coelho en livre de poche, c’est pas cher et ça vous aidera !!!!

 



J’ai 70 ans, et bien sûr les livres de développement personnel m’ont « interpellée » dans les librairies depuis longtemps… J’en ai acheté, emprunté en bibliothèque, et il me semble que vous oubliez dans l’émission en cours l’aspect culpabilisant lié au « yaka fokon » martelé à longueur de pages… et bien souvent, le livre du début à la fin n’est que répétition de maximes, d’expériences soi-disant personnelles, d’histoires de vie et de guérisons miraculeuses, on se retrouve souvent en fin de lecture devant une impression de vide et de rabâchage… et d’impossibilité personnelle d’être aussi « bon » et parfait dans l’exécution des exercices préconisés. Travailler sur le long temps avec un psy formé pour écouter est sans doute plus productif pour nous aider.



Vouloir aller mieux, trouver le bonheur grâce à des pairs me semblent aller dans le sens de la mutation de la société. A notre époque on observe un rejet des instances qui ont un savoir, les pères. On observe à l’école que le savoir des profs est dévalorisé au profit d’internet ou d’autres pairs.


Merci d’avoir invité Julia de Funès, quelle intelligence pragmatique, ça fait du bien ! Marre de ces recettes du bonheur à l’américaine. J’accompagne des personnes en période de deuil et certaines n’osent plus faire part de leur détresse car leur famille, leurs amis leur conseillent d’être positifs, de sourire pour être heureux à nouveau!