Je viens d'écouter votre revue de presse et je suis partagé entre me recoucher ou prendre des anxiolytiques. Pas une seule information positive dans la sélection que vous avez faite. Je veux bien admettre que le monde réel n'est pas celui des bisounours mais il y a quand même de bonnes nouvelles dans notre monde. Ne faudrait-il pas trouver un juste équilibre entre l'heureux et le triste, surtout que nous ne pouvons que déplorer le triste sans pour autant, nous pauvres auditeurs dépités, être en mesure d'agir dessus pour améliorer la situation ? Je ne veux pas ignorer ce qui va mal mais juste connaître aussi ce qui va bien dans notre monde au même titre que ce qui va mal. Je pense qu'un bon exercice serait déjà de sélectionner 10% de bonnes nouvelles. Ce serait déjà un pied à l'étrier pour à l'avenir augmenter sensiblement cette part. Ce serait une belle contribution pour combattre la mélancolie nationale française. Sinon je continuerai à faire comme je le fais : éviter les infos pendant plusieurs jours car trop anxiogènes à mon goût.

Allez, sourions

Je crois en vous, montrez-nous juste un peu de l'homme heureux qui est en vous:-)

Sincères salutations