Merci, Monsieur Morel, chaque matin, vous êtes celui qui console ce chagrin qui s'abat sur moi certains jours quand le monde est si laid si cruel, si bête. Vos chroniques me font parcourir tous ces journaux que je ne lirais pas. Merci encore, restez ainsi, ne changez rien et si nous traversons gagnants cette catastrophe, je viendrai encore vous écrire quelques lignes, je vous ferais ma chronique de l'âme, du cœur. Prenez soin de vous. Dany. Éducatrice.