Ce soir au journal de 22h la journaliste a parlé de condamnation à 5 ans de prison d'un policier pour "abus sexuels" sur une de ses collègues, le mot abus est à mon avis à proscrire et à remplacer par le mot violence car abus implique une tolérance, "l'abus d'alcool est dangereux, etc etc ",ce qui implique automatiquement une tolérance; en matière de crimes ou délits sexuels il n'y en a pour moi aucune. Où est la limite ? Main au cul, sur les seins, propos dégradants, ce problème français fait qu'il y a pour moi trop de tolérance pour les agresseurs sexuels. je vous remercie de transmettre ceci à la rédaction et je suis dispo pour leur en parler mais je connais aussi pas mal de personnes à paris qui pourraient le faire car j'habite entre Nantes et Rennes et vois presque quotidiennement en thérapie des personnes victimes "d'abus sexuels" avec des conséquences douloureuses et très longues à guérir, certains ne s'en remettent d'ailleurs pas, alors par pitié, plus de mot abus mais le mot violence. avec mes salutations amicales d'auditeur fidèle depuis longtemps.

La Médiatrice Radio France vous répond
03/10/2017 - 17:30

Vous avez parfaitement raison, d’autant plus que le policier en question a été condamné à cinq ans de prison ferme pour « agression sexuelle par personne ayant autorité » et « harcèlement sexuel », et non pour « abus sexuel ». Nous signalons cette erreur à la journaliste.