Je pensais que Reza avait peut-être pris froid et que la gorge lui grattait. Et puis votre voix a elle aussi flanché, un peu mais sûrement. Il n'était plus question de rhume d'automne. Vous avez mêlé rire et larmes. Une émotion rare et tellement vraie. Je sais encore plus aujourd'hui pourquoi j'aime France Inter, pourquoi je vous aime aussi. Merci à vous, à Reza à votre immense sincérité et sensibilité