Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, était l’invité du grand entretien de Nicolas Demorand et Léa Salamé ce 23 juin à 8h20.
Les auditeurs ont réagi : un sélection de leurs messages ici…

Comment se fait-il, dans ce contexte de licenciement, qu’on ne parle pas de reconversion professionnelle ? Ne peut-on pas contraindre ces grandes entreprises à financer des reconversions vers la transition énergétique pour les personnels licenciés ?

Merci à Mr Martinez !
Je suis un homme de droite et pour la première fois, j’écoute le patron de la CGT d’accord avec toutes ses idées.
Je travaille sur un standard qui « standardise » plusieurs entreprises : nous sommes tous payés au smic.
Je suis un homme de droite, et de Gaulle disait « 1/3 des bénéfices pour les actionnaires, 1/3 pour le développement de l’entreprise, 1/3 pour les salariés ».

À force de se  » mobiliser  » comme le dit Monsieur Martinez, on court à notre perte ! La meilleure chose qui puisse nous rendre service, c’est de se relever les manches et bosser. Tout le monde ne gagne pas à sa vie à manifester !

Avez-vous conscience que vous et la CGT brisez des pans entiers de l’économie nationale, avec tout le chômage qui en découle, à l’instar récemment de Presstalis qui a dû déposer le bilan, et au sujet duquel Laurent Joffrin qui est plutôt un homme de gauche reconnait que vous avez été trop radical…

M. Martinez ne cesse de ressasser les mêmes recettes en oubliant qu’il y a des contraintes diverses, qu’il balaye par la formule « c’est toujours pareil » … c’est Martinez qui est toujours pareil … lassant et de moins en moins crédible … Bref, 25 minutes de langue de bois … et la position facile de l’opposant systématique.

Est-ce que ça fait mal à M. Martinez de dire merci à un gouvernement qui a le mieux indemnisé les travailleurs pendant le COVID au monde !

En tant qu’ancien délégué CGT, je ne comprends pas l’attitude de la CGT qui, en bloquant le dépôt de Prestalis à Vénissieux (Lyon) empêche la livraison de la presse nationale, privant ainsi les distributeurs de toute une région et les journaux nationaux de rentrées financières, ainsi que les lecteurs de leur plaisir quotidien.

La rédaction de France Inter sélectionne très majoritairement des auditeurs qui posent des questions critiques aux invités, sauf avec la CGT (MARTINEZ) : les deux premiers invités (sur trois) sont là pour mettre en valeur, applaudir l’invité et son syndicat… C’est très suspect et ne favorise pas la discussion ni l’intelligence de l’auditeur…

Fidèle auditeur de votre antenne, je vous ai déjà fait part de mon étonnement quant à vos méthodes à la suite de réception de Mr Zucman. En effet, vous aviez, à l’époque, terminé votre interview par une question sans laisser à votre invité la liberté d’y répondre ! Aujourd’hui, vous receviez Mr Martinez, secrétaire général de la CGT. Lors de vos échanges, vous avez interrogé Mr Martinez sur la réforme des retraites en lui demandant si en même temps que l’abandon pur et simple de la réforme, faut-il également abandonner la revalorisation des petites retraites agricoles ?
Rendons à César ce qui est à César s’il vous plait…
Pour rappel, ce projet de revalorisation préexistait avant la réforme encours ; un projet de loi de décembre 2016, adopté à l’unanimité de l’assemblée nationale en février 2017 s’est égaré dans la navette parlementaire avec le sénat et la mise en œuvre du vote bloqué par le gouvernement actuel a prolongé la faiblesse de ces faibles retraites jusqu’à aujourd’hui !!
Je vous invite à restaurer le professionnalisme qui est dû au service public, en remettant, une fois de plus, les informations que vous diffusez dans leurs perspectives historiques. Cela remettra l’objectivité au cœur de vos propos et permettra à vos nombreux auditeurs, de se construire une opinion en parfaite connaissance de cause, sans qu’un apriori erroné soit entendu Cordialement