Je suis un très fidèle auditeur de France Culture et de ces journaux quotidiens, dont je trouve la qualité, bien que perfectible, bien au-dessus des autres stations. Cependant, le journal d’aujourd’hui a commencé par la phrase « L’augmentation observée depuis le début de l’été du nombre du nombre de cas de contamination au coronavirus, continue de s’accélérer en France. » Cette phrase me met en colère, car bien que n’était pas fondamentalement fausse, elle induit en erreur, et ce genre d’information que vous relayez m’a fait croire depuis fin août que l’épidémie repartait. Ce qui est totalement faux. Ce matin je me suis procuré les chiffres concernant les décès liés au covid depuis le mois de février. J’ai moi fait même fait plusieurs tableaux pour comparer les données. Le résultat est clair, le nombre de décès liés au covid est stable depuis mi-juin!!! On tourne à 17 décès par jours en moyenne en France, 3 décès le 6/09, 0 décès le 5/09, 18 décès le 04/09, etc. La tendance N’EST PAS à la hausse !!!! Hors vos journalistes continuent bêtement à annoncer les chiffres correspondant aux nombres de cas, chiffres qui mathématiquement augmentent avec l’augmentation du nombre de tests, et ne sont donc absolument pas pertinents, puisque pour être comparables aux chiffres précédents, il aurait fallu que le nombre de tests reste constant!!! Cela me met en colère car cette manière de traiter l’information induit en erreur la population, lui faisant croire que l’épidémie reprend alors que ce n’est pas le cas, et se retrouvent influencée par une information qui n’est pas traitée de manière pertinente. Je suis déçu car j’attendais davantage de hauteur de vue venant de France Culture.  (France Culture)

A propos de votre traitement médiatique de la Covid sur votre antenne… Quand cessera l’annonce froide de chiffres, sans réflexion avec d’autres, sans analyse croisée ? Encore ce matin  »la situation s’aggrave… » pour finir au journal en disant “mais les chiffres à l’hôpital restent stables.. » Ras-le-bol, vraiment. C’est comme si chaque jour vous nous agitiez sous le nez le drapeau de la confusion, de la panique. À se demander ce qui anime votre rédaction. Il n’est plus temps de balancer des chiffres comme cela. Cela devient irrespirable. (France Inter)

En tant que médecin, je vous informe que dans beaucoup de vos très bons articles se glisse une erreur concernant le Covid. Vous parlez toujours de recrudescence de la maladie avec le nombre de testés positif qui augmente il s’agit non pas de recrudescence mais de nombre de personnes testées positivement. ¨Pour 99,7% elles sont non ou peu malades. Puisque ce virus est assez bénin pour plus de 80% de la population beaucoup de gens sont en contact avec lui sans être malades. C’est normal, le virus fait son job : il circule puis, à priori, on n’entendra plus parler de lui comme le SRAS, la grippe H1 N1, la grippe espagnole etc. Le fait que l’on confirme par les tests que le virus est bien encore en circulation participe à l’immunité collective de protection de la population et non pas à une recrudescence de la maladie. Ce qui est une information à rectifier par souci de vérité et pour arrêter les conséquences dramatiques au niveau psychique de la mésinformation.

Je m’interroge sur la façon dont vous traitez les statistiques journalières sur le COVID. 
Vous parlez lors des flashs de reprise de la pandémie en mettant en évidence le nombre de nouveaux cas qui augmentent. 
D’abord ce n’est pas surprenant puisque nous testons beaucoup plus de personnes. 
On ne pourra parler de reprise de la pandémie, quand le nombre de morts augmentera, ce qui n’est pas le cas. 
Donner une information objective serait de mettre en parallèle le nombre de mort, ce qui mettrai en évidence que les mesures prisent sont excessives. 
Vous dites que la Suède est le mauvais élève Européen, or la Suède n’a pas plus de mort au regard de sa population que la Belgique. 
La Suède ne va pas avoir à supporter une dette abyssale, une économie dévastée et sa population n’est pas privée de libertés. 
Marteler chaque jour des chiffres en donnant que ceux qui font peur, n’est pas pour moi une façon objective de traiter l’information. 
Ce qui est dommageable pour une radio telle que France Info qui prétend vérifier ses infos : une pandémie se mesure au nombre de morts mais pas de cas  
Merci de rectifier si vous pensez mes propos pertinents, cela permettra de faire preuve de discernement et de ne plus alimenter un climat de psychose qui de mon point de vue est complètement exagéré. 

J’ai une question : pourquoi chaque jour vous nous indiquez, depuis la mi-juillet, le nombre de tests positifs au covid ? Pourquoi vous ne nous donnez plus le nombre de personnes en réanimation et le nombre de patients hospitalisés pour le covid ? Parce que ce chiffre baisse ou est stable depuis plusieurs mois ? Alors qu’il est vrai que le nombre de cas positifs augmente. Mais combien aurions-nous eu de cas positifs en mars avril si nous avions autant testé que maintenant ??!! Je ne comprends pas votre choix d’information. Vous souhaitez faire peur aux auditeurs ? Pourquoi ne pas analyser vraiment et clairement TOUTES les données ?? 

Je voudrais faire part de mes réflexions à l’ensemble des journalistes de radio France. J’entends dans vos informations que vous annoncez des milliers de nouveaux cas de covid 19 et ce depuis 2 ou 3 semaines. Ce qui voudrait dire que nous sommes face à plusieurs milliers de nouvelles personnes malades, or il y a très peu de nouveaux cas d’hospitalisations simples ni en réanimation. C’est une façon de présenter les choses qui porte à confusion quand vous parlez de nouveaux cas ce n’est pas vrai. Il s’agit en fait de cas de personnes détectées positives au test qui a été déployé à grande échelle ces 2 derniers mois, une personne qui présente des anti-corps n’est pas du tout une personne malade contrairement à ce que l’on veut nous faire croire. Il suffit d’aller consulter les chiffres du gouvernement sur son propre site pour s’en rendre compte, si vous y alliez, vous le sauriez, j’ai du mal à croire que personne n’a eu cette curiosité au sein de l’équipe de journalistes de Radio France. Il y a environ 2% de personnes malades dans celles qui sont détectées positives actuellement (chiffres Santé Publique France). Ce matin j’ai entendu aux infos de 10h que plusieurs départements Français étaient revenus au rouge au vu des chiffres. Je suis très déçue par l’attitude de Radio France face à cette épidémie, savez-vous qu’a l’heure actuelle d’après Santé publique France il y a eu 1998 décès dus au covid 19 alors qu’on nous en annonce 35 000 maintenant ? Et qu’en 2017 il y a eu 24400 décès dus à la grippe saisonnière ?? Je vous poserai donc juste cette question : vous rendez-vous compte de la chape de peur que ces infos diffusent sur les Français et ce sans aucune raisons le nombre de morts est minime depuis 2 mois ? J’ai vu des parents qui croyant bien faire masquent leurs enfants de 4 à 5 ans. C’est dramatique pour ces petits. Mais nous avons beaucoup de chance notre Premier ministre n’est pas pour un (re)confinement, ouf je suis rassurée. J’aimerais bien avoir une réponse de votre part bien que je n’y crois pas. Ce mail est adressé à l’ensemble des journalistes de radio France. Nous sommes heureusement beaucoup à ne plus écouter les médias et à nous forger notre propre opinion. Je vous souhaite une bonne journée. 

Pouvez-vous mettre en parallèle, lors de vos journaux, le nombre de cas covid positifs avec les 3 chiffres les plus importants que sont : nombre l’hospitalisations, nombre en réanimation et le nombre de décès. À force d’assommer les auditeurs avec le premier chiffre qui ne reflète absolument pas la réalité vous faites de la désinformation.  

Pourquoi traiter actuellement le sujet de la COVID de cette manière, en laissant présager une reprise rapide de la maladie ? Le nombre de cas augmente, bien évidemment, puisque nous réalisons beaucoup de tests. Cependant, dans le même temps les chiffres de personnes en réanimation sont beaucoup plus faibles que lors du déconfinement (cf chiffres ci-après). Alors vous demande-t-on d’orienter la communication sur la COVID de manière à inquiéter un peu plus le peuple, en oubliant volontairement de parler des chiffres les plus marquants (ceux des hospitalisations en cours et des personnes en réanimation) ? Pouvez-vous désormais traiter de cette actualité de manière plus transparente et de montrer la vraie figure de cette épidémie en évoquant les chiffres tels qu’ils sont ? Remettons un peu de perspective aux chiffres actuels du coronavirus : D’après Santé Publique France hier, Personnes hospitalisées pour une infection COVID-19 : 4 535 le 27 août, Personnes hospitalisées en réanimation : 381 malades, Île-de-France, Hauts-de-France, Occitanie, Provence-Alpes-Côte-d’Azur regroupent 69 % des malades en réanimation. En Outre-Mer : 186 hospitalisations, dont 35 en réanimation… Et voici les chiffres au 11 mai, jour du déconfinement, 22.284 personnes sont toujours hospitalisées pour une infection COVID-19, ce qui constitue 523 nouvelles admissions en 24 heures. 2.712 malades atteints d’une forme sévère de COVID-19 sont hospitalisés en réanimation 

Cela fait maintenant 2 jours que les chiffres donnés aux informations de la radio nationale concernant le nombre de personnes hospitalisées et en réanimation pour la covid 19 sont faux. Certes santé publique France a modifié la présentation de ces données journalières mais avec juste un peu d’attention un journaliste devrait être capable de les retranscrire correctement  
Ainsi il a été annoncé aujourd’hui 326 personnes en réa alors qu’il s’agit de l’augmentation du nombre des personnes en réanimation sur 7 jours glissants et que le nombre réel des personnes en réa est de 531 ( il faut ouvrir les données de géodes…)  
Et idem hier il était annoncé 288 personnes en réa ( alors qu’il s’agissait de l’augmentation sur 7 jours) au lieu de 480 …  
Un peu de rigueur serait bienvenue surtout ds le climat actuel  
Attendons demain…  

Je viens d’entendre les chiffres de personnes contaminées par la covid 19 et ce soir ,dans les infos de 18h ,une fois n’est pas coutume, nous avons eu droit aux chiffres indiquant les hospitalisations ainsi que le nombre de personnes en réanimation. Et ces deux données permettent de relativiser la gravité de la pandémie,par rapport à ce qu’il se passait en Avril et en Mai dernier. Il serait donc bon de donner ces chiffres d’hospitalisation et de réanimation à chaque fois que vous parlez du nombre de malade. Merci pour vos émissions , vos programmes.

Très bon article sur « lemonde.fr » concernant le coronavirus  
« Coronavirus : pourquoi tant de contaminations et si peu de morts ? », sous-titré : « pourquoi la hausse des cas ne permet pas encore de conclure à une deuxième vague »  
1) On teste nettement plus qu’au printemps (eh oui !!!! eux l’on compris…)  
2) Rien n’indique que la virulence du virus soit moindre  
3) Le virus circule davantage chez les plus jeunes, moins vulnérables  
4) Il faut plusieurs semaines pour constater les effets du virus (depuis la fin du déconfinement, les Mmes Soleil de Radio France annonce une deuxième vague, qui n’a toujours pas eux lieux !!)  
5) On prend mieux en charge les malades hospitalisés.  
On est loiiiiin des infos à l’anxiogénéité volontairement proche de l’overdose.  
On se demande a quel jeu vous jouez.  
Certains font preuve de mesure, d’analyse et de relativité…..  
De plus j’ai entendu parler sur votre radio de « nouveau coronavirus », ce qui est une fake-news.  
Si il était « nouveau » alors pourquoi parlez vous de « deuxième vague »? il faudrait parler de « première vague du nouveau virus ». 

Je vous prie tout d’abord de m’excuser si je vous écris pour un sujet qui a déjà été traité et/ou auquel il a déjà été répondu. Je voudrais savoir si la question du décompte des personnes infectées par le Covid-19, hospitalisées ou décédées a fait l’objet d’une réflexion. Je ne comprends pas en effet que ces chiffres soient donnés quotidiennement … sans que soient alors précisés des éléments qui pourraient servir de comparaison : nombre d’accidents (de voiture ou autre) par jour, nombre de morts par jour, nombre de morts par cancer par jour, nombre de morts par le virus de la grippe en 2020… Dans l’état, sans possibilité de relativiser, les informations autour des décès par Covid-19 (me) paraissent surtout anxiogènes. Qu’est-ce qui motive la réflexion pour poursuivre le détail de ce type d’informations ? 

Lorsque je lis vos articles sur l’épidémie ou que j’écoute votre flash d’infos réitéré toutes les dix minutes, je constate qu’ils vont tous, sans exception, dans le sens de la propagande d’affolement. De mauvais esprits pourraient se demander si ce n’est pas une consigne reçue … Il me paraît malhonnête de votre part d’insister lourdement sur l’augmentation du nombre des « cas » en omettant complètement de préciser immédiatement que les nouveaux « cas » ne sont pas des « malades » puisque les chiffres officiels (et les scientifiques de renom mondial qui les citent) disent qu’il n’y a plus de décès et quasiment plus de « malades ». Vous devriez préciser aussi que les tests dont vous rebattez les oreilles du peuple ne sont pas fiables et qu’on leur fait dire ce qu’on veut, et ajouter que les innombrables « cas » sont en parfaite santé » et, ne demandent qu’une seule chose : qu’on leur fiche la paix ! L’éthique journalistique voudrait donc, me semble-t-il, que vous fissiez une présentation fidèle et complète des choses. Car pourquoi affolez-vous délibérément les gens ? Je n’ose pas imaginer que ce soit pour leur faire accepter le futur vaccin obligatoire. 

J’ai déjà écrit hier à ce sujet. Aujourd’hui, continuant à entendre que la pandémie repartait, j’ai voulu donner aux médias le bénéfice du doute, et me suis dit que même si les données montrent le contraire à l’échelle de la France, peut-être que localement il y aurait effectivement une recrudescence. J’ai donc isolé les données de l’Ile de France et des Bouches du Rhône. Résultat: en Ile de France le nombre de décès quotidien est stable depuis le 18 juin entre 0 et 15 décès par jours. En Bouche du Rhone, stable depuis la même période avec entre 0 et 3 décès par jours. Il n’y a pas à ce jour de reprise de l’épidémie. Merci de ne pas continuer à apporter de l’eau au moulins des complotistes vous accusant de fake news.

Je me lamente chaque jour d’entendre vos journalistes évoquer le développement de la pandémie en citant les chiffres de contamination en valeur absolue. Il n’y aurait que manquement à la précision si l’on ne poursuivait en indiquant un palmarès des pays (Etats-Unis, Inde, Brésil….). Ce classement n’a aucun sens si l’on ne relativise pas ces chiffres au nombre d’habitants. Ainsi, dire que l’Inde est le pays le plus inquiétant au prétexte qu’il y apparaîtrait quotidiennement 90000 nouveaux cas. C’est beaucoup, mais est-ce si spectaculaire que vous le laissez l’entendre, sachant que l’Inde compte 20 fois plus d’habitants que la France qui elle compte 8000 nouveaux cas quotidiens ces derniers jours ? Non vous en conviendrez. Sur la chaîne dont le moto est « l’esprit d’ouverture », il serait temps que vos intervenants l’appliquent d’abord à eux-mêmes. 

Au printemps nous étions informés du nombre de morts tous les jours… maintenant que les tests positifs, apparemment il n y a plus de morts, sinon vous nous en informerez….. Ou bien, le fait de ne rien dire cela maintient la peur….

Ça ne s’invente pas !!! 
A l’occasion de l’échange entre Léa SALAME et Olivier VERAN, une petite perle s’est glissée dans l’exposé de M. le Ministre que je ne peux m’empêcher de partager. 
Le Pays est confronté à une hausse « préoccupante » de la transmission du virus sur son territoire a estimé hier soir Santé Publique France. 
M. le ministre « Préoccupante », Est-ce le mot que vous retenez, vous aussi ce matin pour qualifier la situation ? 
D’abord vous dire que les chiffres qui sortent le lundi sont le reflet de l’activité du week-end et donc le WE, les comptabilisations sont toujours plus aléatoires. 
Je ne retiens pas et vous demande de ne pas retenir l’idée selon laquelle il y aurait eu hier moins de cas qu’attendu. 
(…) 
En réalité on est sur une pente avec un facteur de reproduction du virus, le fameux facteur R (combien de personnes, quand je suis malade, je vais contaminer), qui est aujourd’hui aux alentours de 1,2. 
C’est beaucoup moins qu’au printemps dernier et ça c’est la bonne nouvelle (…). 
C’est-à-dire que le virus circule moins vite, mais il circule quand même, et il circule malgré tout de plus en plus rapidement, puisque 1,2 c’est plus que 1. 
Je vous laisse apprécier la circulation plus lente, mais malgré tout de plus en plus rapide. 
« A plus que j’pédale moins vite, à moins qu’j’avance plus vite »

Vous avez reçu une demande de contact de cerbere-phenix@hotmail.fr 
 
Bonjour la matinale, 
Je vous écoute depuis des années, avec plaisir, chaque matin. Les interventions riches et variées de votre équipe m’ont toujours plu. Vous accompagnez mes trajets vers le travail au quotidien. 
C’est pourquoi aujourd’hui j’aimerais savoir pour quelle raison, alors que le covid-19 et ses conséquences ont le quasi monopole de vos interventions, n’invitez-vous jamais les personnes n’allant pas dans le sens de votre évidente prise de position sur le sujet ? 
Pourquoi ne dépeindre cette frange de la population qu’à travers le prisme de la conspiration, de l’extrémisme, de l’extravagance ? A vous écouter il n’y a, pour vous paraphraser, que des « anti-masques » primaires dont la seule façon d’exister est en étant en opposition avec la norme. Les faisant passer au mieux pour des farfelus ridicules, au pire pour de grands irresponsables responsables des maux qui nous touchent en cette période épidémique. 
Sortez-vous de votre sphère parisienne ? 
J’habite en campagne, et aujourd’hui, laissez-moi vous dire que les personnes dont vous présentez un portrait-robot grossier ne sont pas forcément des anti-masques. Que ces mêmes personnes n’entrent pas dans la psychoses généralisées que vous entretenez en prenant du recul sur les chiffres dont vous nous gavez. Je fais partie de ces personnes et je me sens insulté à votre écoute. 
Je n’ai aucun problème contre le fait de porter un masque lorsque les risques collectifs sont véritablement présents. Transports en commun, spectacles, regroupements dense de personnes. 
La seule chose est que j’estime nécessaire d’utiliser les chiffres et la sémantique de façon honnête. Aujourd’hui le nombre de personnes en réanimation et le nombre de morts est, à échelle scientifique, nul. Ce, depuis le mois de juin. 
Que le nombre de cas explose alors que, comme le disait encore ce matin M. Véran ce matin, 1 million de tests sont effectués chaque semaine en France est d’une banalité déconcertante. N’importe quel collégien saurait en tirer les conclusions qui s’imposent : plus on test, plus on a de cas. 
Mais il est de notoriété publique qu’une pandémie se mesure à son nombre de cas graves. Or en France et un peu partout dans le monde, ces derniers sont en baisse pour ne devenir, à court ou moyen terme, scientifiquement nuls. 
Je me questionne sur la raison profonde de ce changement d’analyse de votre part et de vos confrères. Les chiffres n’étaient plus suffisamment spectaculaires pour vos audiences ? Ou des directives seraient venues de plus haut ? Ou simplement ne faites-vous plus preuve d’analyse ? Et pourquoi diable ne donnez-vous pas la parole à des personnes hautement qualifiées tenant un discours d’apaisement sur la situation ? 
N’êtes vous pas censés, en tant que journalistes, conserver un minimum d’objectivité ? L’information passe par là. 
Lorsque votre journaliste invite Mme Karine Lacombe, cheffe du service « maladies infectieuses » à l’hôpital St-Antoine, celle-ci explique que son unité covid avait un nombre de lit dédié en mars-avril supérieur à 40 alors que cette même unité aujourd’hui est de 6 lits. Alors oui, l’unité est pleine… mais les chiffres sont radicalement différents. De plus, lorsque votre journaliste relance le sujet des réanimations, elle le fait habilement en orientant la question de manière à obtenir l’information qu’elle désirait : parler d’une hypothétique mutation du virus, dont tout le monde sait que c’est une invention. Et en avant les gros titres. 
Cette position de votre part alimente les conspirationnistes que vous critiquez. Pourtant, ces raisonnements ne reposent pas sur du vent. Cela ne veut pas dire qu’ils soient justes pour autant. Mais nous pouvons au moins nous accorder sur le fait que vous leur donnez du grain à moudre. 
J’aimerais vraiment que vous puissiez prendre le temps de répondre à ces questions qui, en tant qu’auditeur de longue date de France Inter, me dérangent énormément. 

Je suis un fidèle auditeur de France Info mais j’ai souvent du mal à interpréter analyser voire comprendre les éléments portés à notre connaissance Par exemple « innombrables décès liés au Médiator » alors que l’on sait que il y aura en tout près de 1000 morts sur 30 ans de prescription soit 33 par an … 3 décès ce jour du coronavirus, sans information sur leur âge par exemple (90 ans??)et surtout sans préciser que ce même jour 1780 personnes sont décédées en France à peu près 150 d’infarctus, 100 d’AVC, 400 de cancer, 15 d’accidents de la route…Probablement près de 200 à cause du tabac (complications pulmonaires et cardio-vasculaires…) De grâce, élevez s’il vous plaît le niveau d’intelligibilité de vos informations, qu’elles soient utiles pour comprendre le monde qui nous entoure, ses vrais problèmes, et qu’elles nous aident à relativiser et intégrer des notions indispensables( grand, petit, grave, bénin, bien , mal,…) pour progresser dans notre vie d’être humain concerné et impliqué en conscience et en connaissance.Merci