« Voilà comment on te remercie le cheval »

Merci Monsieur pour cette chronique non seulement poétique mais surtout d’une grande justesse.
Merci Monsieur d’avoir rappelé que les souffrances ne se catégorisent pas sur une échelle.
Merci Monsieur de dénoncer, avec cette douce révolte dans la voix, l’obscénité ambiante où l’horreur donnerait de la valeur à l’Homme : plus on en vit, plus on existe.
Merci Monsieur de nous rappeler que l’empathie et l’amour de l’Autre, animal ou humain, nous font grandir.
Merci Monsieur pour vos mots qui m’ont ému et m’ont rappelé pourquoi je fais le métier que je pratique.
Merci Monsieur de m’avoir donné le courage de continuer, d’avoir soufflé sur cette petite étincelle pour commencer ma journée avec la conviction que ce que je fais à du sens.
Je m’occupe des hommes, pas des animaux, mais votre texte m’a touché et je tenais à vous le dire.

Merci pour l’intelligence et la finesse de vos billets. Celui de ce matin m’a touchée car je fais partie de ceux qui ont peur pour leurs fidèles compagnons. Je m’interroge chaque jour sur ce qui a manqué à ces individus dans leur enfance pour se délecter de la souffrance de l’autre qu’il soit un enfant, une femme ou un animal. Et je vous remercie de souligner que l’on n’a pas à hiérarchiser ces horreurs, elles sont toutes révoltantes. Je pense que celui qui peut mutiler un cheval, poser un tel acte sur un animal aussi confiant en l’homme, peut être le même qui frappera et torturera un être humain. La barbarie n’a aucune limite. Merci encore de l’avoir dit avec cette justesse.

Merci à vous Monsieur François Morel pour votre billet de ce matin sur la cause des chevaux. La bêtise, la méchanceté et la cruauté humaine ne semblent pas avoir de limite.

Je suis cavalière, et amoureuse des animaux en général. J’ai entendu votre billet au volant de ma voiture et une émotion forte m’a submergée. Je tenais simplement à vous remercier de la justesse, de la sensibilité de vos propos, et de votre grande humanité. Vous êtes une belle personne et vous entendre nous fait du bien. Portez-vous bien.

Bravo pour votre poème sensible de ce matin qui m’a beaucoup touchée. J’aurais bien sûr préféré qu’il ne soit qu’un poème d’amour et d’hommage pour nos compagnons de route, il est malheureusement situé dans cette actualité incompréhensible et intolérable. Merci pour votre plaidoyer.

Merci beaucoup Monsieur Morel pour votre billet de ce matin. J’ai été très émue et touchée par celui-ci. Merci de prendre cause pour les plus fragiles quels qu’ils soient et victimes des imbéciles et brutes épaisses ! Florence choux

Juste MERCI pour votre chronique, sachez que vos mots sont, je l’espère, ceux que beaucoup partagent avec vous, écorchés par la brutalité de cette société sans pitié et en attente de justice. Merci donc de les prononcer pour nous.

Voilà, te remercier François pour cette chronique unique et nécessaire, menée au pas, tressée de crins et de mots choisis contre la cruauté. Et si un jour de grand soleil, ciel azur, un cheval magnifique et sauvage, galopant dans les Steppes, nous montrait le chemin secret de notre humanité retrouvée ? Du vent et du talent dans la crinière encore pour longtemps, François .

Bonjour et merci pour ce billet magnifique qui m’a touchée ce matin, au dépourvu, dans ma voiture. Il est magnifique. Pour ma fille qui adore les animaux, j’aurais aimé récupérer ce texte en version écrite, pour un usage parfaitement personnel. Elle n’a que 9 ans et j’aimerais lui permettre de lire ce texte en ôtant la dernière partie (je ne peux pas décemment lui faire savoir dans le détail ce que certains êtres humains osent faire subir à d’autres êtres vivants…) Merci d’avance, si vous pouvez répondre favorablement à ma demande. Et merci encore pour cette pépite.

J’ai entendu « le cheval » ce matin… et les mots me manquent…quelle humanité envers les bêtes vous avez… quelle humanité envers les humains vous avez… merci d’exister Monsieur Morel. Merci beaucoup. J’avais emmené mes parents vous voir dans« les habits du dimanche » à le Mans. Mon vieux Papa avec toutes ses douleurs, s’est mis debout pour vous applaudir…