Bravo à Vanessa Descouraux pour son enquête. Comme d’habitude des reportages de qualité !! Quand ce n’est pas bien, on envoie des messages mais sans doute moins quand c’est pour féliciter, alors voilà si ce message peut lui être transmis ça me fera plaisir.
Bien cordialement et continuez tous ainsi, à France Inter vous faites vraiment du super boulot !

Je me décide enfin à remercier Vanessa Descouraux pour la très grande qualité de ses reportages : toujours beaucoup d’écoute et d’empathie, toujours le respect des personnes, toujours le souci de creuser les sujets. Oui, un très grand et sincère merci.

Je travaille depuis plus 10 ans sur la thématique des violences conjugales et je veux vous féliciter j’écoute France Inter quotidiennement et je salue vos journalistes les sujets abordés avec une grande précision
Merci beaucoup de pouvoir diffuser toutes ces informations
Vous êtes une station de radio très mobilisée

Bravo pour cet engagement

Douloureux mais tellement nécessaire de dénoncer cette violence pour ne plus avoir à entendre des histoires terribles de femmes et d’enfants.

Merci France Inter, super enquête !

Excellente émission ! Merci France Inter.

Formidable reportage sur France inter ce matin il était question de violences conjugales et de viols…

Témoignages coup de poing par Vanessa Descouraux : « Violences conjugales : l’épreuve de la plainte »

Témoignages glaçants de victimes de violences conjugales. Il nous reste à tous encore beaucoup de chemin à faire. « Violences conjugales : l’épreuve de la plainte » sur France Inter

En ce moment-même : Emission passionnante et Etat des Lieux Désastreux de la lutte contre les Violences Conjugales ! Le Parcours de la Combattante !

A écouter ! Car « la plainte » c’est commencer de dire, de dénoncer, de vouloir sortir, de se libérer…
La plainte doit être entendue, accueillie et portée…

Comme toujours, la puissance d’Interception (et de Vanessa Descouraux) est à écouter.
Et après, lire la dernière enquête de la cellule féminicide du Monde sur les ratés de la justice.

J’écoute avec un immense intérêt votre émission, bien que je ne sois directement concernée mais ma fille est décédée il y a un an, n’ayant pas été secourue par son mari alcoolique et pervers narcissique qui n’a pas appelé le SAMU, car trop alcoolisé et l’a laissée, le matin, sur le sol de l’appartement. Les secours ont été appelés le soir vers 17 h. Le SAMU est arrivé accompagné par la police. Trop Tard évidemment. Son mari a été conduit en cellule de dégrisement puis Dans un hôpital psychiatrique.
Je réagis , toujours dans la douleur, en simplifiant tous les maux qu’a subis ma fille qui allait avoir 50 ans. Les policiers ont été exemplaires, j’en suis témoin. Je ne veux pas les défendre systématiquement, mais ils ont fait le nécessaire et je suis toujours en contact avec le policier enquêteur. J’ai porté plainte pour non-assistance en personne en danger. Le dossier est chez le procureur. J’attends; j’espère que les violences psychiques seront prises en compte, et d’autre part que la loi permette d’entendre la famille et pas seulement la victime qui est seule habilitée à porter plainte. . Je m’excuse de réagir aussi vite, et peut être suis-je un peu confuse; Pardonnez-moi, mais je souhaiterais tant que cessent ces violences conjugales. Je vous remercie.

Victime de viol conjugal pendant 10 ans. Ce sujet tabou a été une vraie barrière pour dénoncer mon ex-mari. Quand j’ai trouvé le courage d’aller porter plainte, j’ai entendu de la part du gendarme qui m’a accueillie à l’entrée du commissariat: « le viol n’existe pas dans un couple ». Ces années de traumatismes m’ont valu une hospitalisation de 6 mois en maison de repos. Depuis 21 ans je reste seule incapable de refaire confiance à un homme et donc de partager une vie conjugale. Mon ex-mari n’a jamais été inquiété, les faits sont prescrits, ma vie est gâchée sans que la loi ait réparé par une sanction ce que j’ai subi. Difficile de se reconstruire…

Comme dans tous les reportages sur le sujet, je regrette que soient fait le procès de la police et de la gendarmerie sans que soient précisés certains points. Ce message envoyé aux femmes est que les institutions ne changent pas et qu’on ne peut rien faire, ce qui est faux.
Sur le terrain, des centaines de milliers de personnes sont mobilisées. Je suis intervenante sociale en commissariat et gendarmerie. Je suis employée par le département et intervient directement dans les commissariats et gendarmeries de mon secteur pour faire le lien entre le social et le judiciaire, pour accompagner la personne dans ses démarches, suite à une intervention des forces de l’ordre ou une plainte dans le cadre des violences intra familiales.
Cette intervention permet réellement d’accompagner la victime dans son dépôt de plainte et de l’orienter également vers l’enquêteur formé…
C’est un dispositif national, nous sommes répartis sur l’ensemble du territoire à quelques exceptions près. L’association nationale des ISCG l’ANISCG travaille avec les pouvoirs publics pour renforcer la cohérence du dispositif. Je crois qu’il faut en parler car sinon on envoie un message contreproductif aux victimes.
En lisant votre article on se dit qu’on ne va pas déposer plainte car ça ne sert à rien…
C’est souvent le cas dans les reportages sur les violences conjugales.
Et si vous médiatisiez aussi ce qui fonctionne…
Qu’en pensez-vous ?